RER C - ligne Versailles Chantiers/Juvisy
Les 3 gares de la commune :
Pour connaître l'état du trafic routier avant de vous déplacer, connectez-vous au choix sur les sites d'information routière :
- Ile-de-France : www.sytadin.tm.fr
- France entière : www.bison-fute.equipement.gouv.fr
A seulement 15 kilomètres au sud-ouest de Paris mais préservée de l’urbanisation francilienne par sa situation au cœur de la Vallée de la Bièvre, Jouy en Josas bénéficie d’une situation géographique très privilégiée.
Desservie par une ligne SNCF rattachée aux réseaux RER B et C, reliée à Versailles et aux communes voisines par de nombreux services de bus, et bénéficiant également d’accès directs à l’A86 et la N118, les visiteurs y accèdent aisément.
Commune de 8216 habitants, au 1er janvier 2022, Jouy-en-Josas a su préserver son identité de « village », favorisant la qualité de vie quotidienne de ses habitants, les Jovaciens, tout en intégrant sur son territoire de nombreux pôles de formation ou de recherche (Campus HEC, centre de recherche de l’INRA, Campus Thalès...).
Mais Jouy en Josas est aussi mondialement connue par sa manufacture de Toiles de Jouy, aujourd’hui illustrée par le musée de la Toile de Jouy, et par la présence de personnages célèbres qui y ont trouvé le calme de la villégiature ou la source de leur inspiration.
Région Ile-de-France
Le bois des Metz va retrouver une naturalité avec la création d'un parc forestier
L'ONF et la Ville de Jouy-en-Josas créent un lieu d'accueil privilégié pour le quartier des Metz, quartier vert de la Ville, situé en forêt domaniale de Versailles.
Entourée d'habitations et du nouveau Pôle enfance, cette petite partie de la forêt de Versailles est fortement fréquentée par le public. Afin de mieux aménager et embellir le lieu, et en parallèle de l'extension de la zone de stationnement, l'ON F et la ville de Jouy-en-Josas ont conjointement décidé de faire de cette zone, un parc forestier.
Ce nouveau parc forestier, nommé « Parc forestier des Metz», se situe de part et d'autre du nouveau Pôle enfance.
Les différents bois se répartissent dans tous les quartiers de Jouy-en-Josas :
L'Office National des Forêts a développé un site internet dédié à la forêt domaniale de Versailles.
Ce site permet de synthétiser les informations relatives à la forêt sous l'angle de la découverte. Il permet également de positionner toutes les informations relatives aux actualités de cette forêt qu'il s'agisse de gestion sylvicole, travaux forestiers, événements...
INFORMATION TRAVAUX - FORET DEPARTEMENTALE DES BOIS CHAUVEAUX
Création de chemins d'exploitation - Du 15 août 2023 au 15 août 2025
Parcelles concernées : 1a, 2a, 5b, 6b, 7
Raison : canaliser la circulation des engins forestiers, éviter le tassement des sols forestiers et protéger les semis naturels pour la régénération des peuplements. Ces cheminements, qui gardent un aspect naturel, seront entretenus régulièrement pour rester accessibles lors des coupes de bois futures.
Coupes en lisières et chemins - Du 4 septembre 2023 au 15 août 2025
Raison : la maladie de l'encre du châtaignier et la chalarose du frêne entrainent des dépérissements massifs sur ces deux essences. Il est donc nécessaire de sécuriser le périmètre de la forêt et les abords des chemins en enlevant les arbres morts ou dangereux le long des axes de circulation et des propriétés riveraines.
Explications sur les abattages d’arbres de début 2021 et sur la gestion du bois des Metz par l’ONF.
Document réalisé par Silvano Zanatta, Jovacien du quartier des Metz, initiateur d’une réunion avec l’ONF et la municipalité suite aux inquiétudes générées par ces coupes.
Sur le territoire de notre commune il existe de nombreux endroits arborés sous forme de parcs, promenades ou forêts communales. L’entretien de ces parties boisées requiert une surveillance régulière de nos arbres et un diagnostic de leur état de santé.
Les arbres qui sont abattus du fait de leur dépérissement sont remplacés par des espèces mieux adaptées à la région.
Ainsi, dans le respect des espaces boisés de notre commune, nous travaillons pour les générations futures.
Les arbres de notre commune sont comme tous les arbres, ils grandissent et vieillissent. C’est donc en fonction d’un suivi rigoureux que les services techniques de la ville, aidés par des spécialistes, remplacent au gré des ans les arbres de notre ville.
Ces dernières années, des épisodes de prolifération des populations de chenilles processionnaires du pin et du chêne, aux caractéristiques urticantes, ont été observés sur le territoire francilien, et à Jouy-en-Josas en particulier.
Compte-tenu de leurs caractéristiques urticantes, ces chenilles peuvent, à certaines périodes de l’année (novembre à mars pour la processionnaire du pin, mai à juillet pour la processionnaire du chêne), occasionner des troubles pour la santé humaine : leurs poils microscopiques, très volatiles, peuvent entraîner des réactions allergiques, des démangeaisons vives, des toux irritatives, voire des phénomènes plus violents pour des personnes vulnérables.
Le Maire a pris un arrêté le 17 février 2020, relatif au recensement, à la prévention et à la lutte contre les chenilles processionnaires du pin et du chêne.
Cet arrêté porte notamment sur les obligations suivantes :
- Recensement : toute personne est invitée à prendre contact avec la Mairie pour signaler des nids sur domaine public et privé ;
- Prévention : tous les propriétaires/locataires ayant des nids sur leur terrain devront prendre les mesures de protection adéquate pour prévenir les contacts avec les personnes vulnérables. La Commune agira bien sûr de même sur ses propriétés ;
- Lutte : chacun est tenu d’éradiquer les nids présents sur les parcelles dont il est propriétaire/locataire. La Commune a prévu pour ses propres besoins un marché avec une entreprise. Pour les particuliers, il est vivement conseillé de faire appel à un professionnel pour traiter les nids ;
- Sanctions : le non-respect des obligations énumérées ci-dessus est passible d’une verbalisation donnant lieu à amende administrative (article R.610-5 du Code pénal).
Sociétés susceptibles d’intervenir pour l’éradication des nids :
Milles et un jardins
35 rue des chantiers
78000 VERSAILLES
06 80 05 47 69
GFS
5 avenue Henri Colin
92230 GENNEVILLIERS
01 47 37 52 93
SMDA
28 rue Roger Hennequin
78190 TRAPPES
01 30 57 45 96
Une fois sectionnés, les nids doivent être brûlés. Etant donné qu'il est interdit de procéder au brûlage des végétaux à l’air libre en Ile-de-France, si vous souhaitez vous dispenser des services d’une société spécialisée, le Service des espaces verts pourra mettre à disposition gratuitement un incinérateur de jardin.
La demande devra être transmise par mail à notre service des espaces verts via le formulaire de contact.
L'ONF vous propose un article dans lequel vous trouverez les informations suivantes :
- Trop cueillir menace l’équilibre de la forêt
- Que peut-on trouver au printemps en forêt ?
- Que peut-on trouver un peu plus tard en forêt ?
- A t-on le droit de cueillir en forêt ?
Prochaine date : jeudi 21 mars au cours de l'après-midi
Forêt domaniale de Versailles
Par arrêté préfectoral, il est interdit de pénétrer dans les zones chassées. Lors de ces journées, des panneaux "Chasse en cours" sont disposés en périphérie du secteur chassé.
Retrouvez l’ensemble des calendriers des jours de chasse par forêts domaniales en cliquant sur le lien ci-dessous :
Jours de chasse en forêts domaniales d'Ile-de-France
Toute information sur la présence de sangliers est la bienvenue :contactez-nous
Le but des battues n'est pas d'éradiquer les sangliers dans les bois, mais d'en contrôler la prolifération. Les sangliers sont en effet utiles à l'équilibre de la faune et de la flore dans les bois et font partie de l'histoire de ces territoires. C'est là l'un des tributs à payer lorsqu'on vit dans un cadre semi rural
Extraits du document d'information rédigé par Bruno de GROULARD
Responsable du Service « Forêt » - Agence Interdépartementale de Versailles - ONF
Chaque forêt doit bénéficier d’un « aménagement » (un plan de gestion) officiellement validé par arrêté du Ministre de l’Agriculture , après avis des parties intéressées (élus, usagers, Commission des Sites..).
Pour les forêts autour de Versailles, les objectifs prioritaires sont la protection des paysages et l’accueil du public. L’intervention sur les peuplements pour assurer la pérennité ne se fait pas sans réflexion préalable sur les conséquences paysagères. Le gestionnaire forestier doit cependant veiller à l’équilibre des classes d’âges par des interventions sylvicoles avec parfois récolte de bois ce qui n’est pas incompatible avec les principaux objectifs évoqués ci dessus.
Les riverains et promeneurs sont sensibles, bien sûr, au devenir de « leurs » forêts de renommée. Et ils sont aussi légitimement attentifs aux transformations des zones forestières situées à la périphérie immédiate de l’endroit où ils résident.
La forêt vit, vieillit et se renouvelle. Ce cycle se fait sur un ou deux siècles. Le paysage forestier bouge, la forêt rajeunit partout où il le faut au bénéfice des générations à venir.
Des coupes ont eu lieu régulièrement dans de nombreuses parcelles forestières. Les jeunes peuplements, parfois perçus à tort comme de la broussaille par les non initiés, sont déjà là.
Dans le cadre du budget de l’Office National des Forêts, toutes les recettes de la vente des bois sont utilisées pour l’entretien de la forêt (dégagement des semis, plantation, nettoiement).
Dans cet esprit, il faut conduire la forêt pendant plus de cent ans. Au départ, au cours des trente premières années, la jeune forêt parait dense « broussailleuse » à l’œil du promeneur mais progressivement elle va s’ouvrir, devenir pénétrable, se diversifiée. Déjà, au bout d’un siècle il y aura des frondaisons reposantes. Les générations à venir profiteront de ces futaies.
L’Aménagement de la forêt suit son cours. Les forestiers ont tous le souci d’assurer la pérennité du cadre de verdure des citadins Ils exploitent avec respect et émotion les arbres pluriséculaires légués par leurs anciens et sont fiers de transmettre aux générations futures ce qu’ils se font un devoir de réussir : « le renouvellement »
Superficie : 1014 hectares dont 44% en espaces verts
25 km de voies
Altitude : Centre ville : 91 m - Plateau des Metz : 170 m - Parc de Diane : 142 m
Les populations légales de la commune de Jouy-en-Josas, à compter du 1er janvier 2023, seront les suivantes :
La population municipale* sera de 7 983 habitants ; la population totale** sera de 8 149 habitants (Source : Insee).
*La population municipale comprend les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune, dans un logement ou une communauté (HEC, par exemple), les personnes sans-abri recensées sur le territoire de la commune et les personnes résidant habituellement dans une habitation mobile recensée sur le territoire de la commune.
**La population totale d'une commune est égale à la somme de la population municipale et de la population comptée à part*** de la commune.
***La population comptéeà part comprend certaines personnes dont la résidence habituelle est dans une autre commune mais qui ont conservé une résidence sur le territoire de la commune (par exemple personnes en maisons de retraite, en services de moyen ou long séjour
En 2020, les femmes habitant la commune ont donné naissance à 54 bébés (parents domicilés sur la commune) - Dernières naissances ayant eu lieu sur la commune : en 2010.
La loi du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile prévoit que la mairie doit donner aux habitants de sa commune, une information préventive sur les risques majeurs qui peuvent les concerner.
Un évènement potentiellement dangereux est un aléa, il ne devient un risque majeur que s’il s’applique à une zone où il existe des enjeux humains, économiques ou environnementaux sont en présence. Le risque majeur est donc la coexistence d’un aléa et d’enjeux.
Les différents types de risques majeurs auxquels l’homme peut être exposé sont regroupés entrois grandes familles :
Deux critères caractérisent le risque majeur :
- Une faible fréquence : les populations peuvent être d’autant plus amenées à les sous-estimer que les catastrophes sont peu fréquentes.
- Une gravité importante : nombreuses victimes potentielles, dommages importants aux biens et à l’environnement.
Destiné à prévenir et anticiper les situations d’urgence, le Document d’Information Communal sur les Risques Majeurs est un manuel pratique indiquant à chacun la conduite à tenir en cas de danger. Pour chaque risque, ce document énonce très simplement les bons réflexes, les premiers gestes et les consignes de sécurité à respecter. De plus, il indique les précautions d’urgence à prendre : ce qu’il faut faire ou ne pas faire, à qui s’adresser, comment se mettre à l’abri dans l’attente des secours, etc.
Chacun y trouvera des informations précieuses, susceptibles de sauver des vies. Consultez-le régulièrement pour vous en imprégner ainsi que pour en suivre les mises à jour. Il est important pour votre sécurité et celle de vos familles que vous soyez dès à présent conscients et bien au fait des dangers auxquels peuvent nous exposer les activités de la vie quotidienne et les risques naturels. Il s’agit là d’un devoir collectif mais aussi d’une mise en pratique effective du droit à la sécurité qui ne peut exister qu’avec la mobilisation et le concours de tous.
Le Plan Communal de Sauvegarde a été instauré par la loi n° 2004-811 du 13 août 2004 de modernisation de la sécurité civile (article 13). Il s'agit d'un document de compétence communale ou intercommunale contribuant à l'information préventive et à la protection des populations. Il détermine et fixe, en fonction des risques majeurs connus dans une commune donnée, l'organisation locale pour faire face à une crise et la gérer.
La commune de Jouy-en-Josas est composée de plusieurs quartiers bien identifiés, possédant chacun leur spécificité :
- Le centre Ville - Petit Jouy
- Les Metz
- Le Parc de Diane
- Le Val d'Albian
Des conseils de quartiers se sont mis en place afin de renforcer l'échange d'informations, la remontée d'attentes et de propositions, la concertation et l'animation locale, au plus près possible des préoccupations quotidiennes de chacun.
Pour favoriser l’écoute et la participation des habitants de la commune, la municipalité organise des groupes de travail à l’échelle de chaque quartier et sur des thèmes qui préoccupent votre vie quotidienne.
Chaque groupe fera l’objet de quelques séances de travail afin de déboucher, sur des avis, suggestions et propositions relatives au thème défini. Le principe de ces groupes est de réfléchir entre habitants aux questions qui touchent les différents aspects de notre cadre de vie, à rechercher ensemble des solutions aux difficultés constatées et des propositions d’action à soumettre à la municipalité.
Voici la liste des groupes qui fonctionnent par quartier ou par « sous-quartier » :
- Centre/Petit Jouy : circulation/stationnement, urbanisme
- Les Metz : circulation/stationnement, transports scolaires, chapelle des Metz
- Val d’Albian / Parc de Diane : circulation/stationnement, travaux/voirie
Par ailleurs, certains thèmes ont vocation à être traités en groupes interquartiers :
- Nuisances sonores
- Bois / ONF
- Circulations douces
- Développement durable
Ces groupes, auxquels sont invitées les personnes qui ont manifesté leur intérêt lors des réunions publiques, sont également ouverts à tout habitant de Jouy-en-Josas (ou personne y travaillant) qui se sent concerné par le sujet annoncé.
Christophe RUAULT
Adjoint au Maire - Délégué à l’attractivité du territoire et au développement économique
Marie-France ONESIME
Adjointe au Maire - Déléguée à la jeunesse, la démocratie participative et à la coopération internationale
Jouy centre
Ce quartier est le coeur et l'âme de notre cité. Son coeur historique comprend l'église du 13ème siècle reconnaissable à son clocher effilé et à ses 4 pyramidions. Elle est entourée par des maisons anciennes que l'on retrouve également rue Oberkampf. La plupart ont près de 3 siècles d'existence, ce qu'on ne remarque pas car ces vénérables "dames" ont déjà subi un ou plusieurs "liftings".
L'âme de notre cité est la Mairie, ancienne maison d'habitation d'Oberkampf, un lieu de décisions à compter de 1899 lorsqu'elle devint la mairie.
La maison du Pont de Pierre, édifiée au 18ème siècle, a résonné en 1760 des coups de maillets donnés par les frères Oberkampf sur les planches à imprimer les toiles. Depuis 1980, elle résonne à nouveau mais cette fois grâce aux arpèges de l'école de musique.
Enfin, le Vieux Moulin, minoterie, édifiée en 1828, fait figure de benjamin dans le quartier.
Ecole maternelle Jacques Toutain
Ecole élémentaire Emile Mousseau
Afin de faciliter l'accès aux places de stationnement à tous les jovaciens au niveau des endroits les plus fréquentés, des zones bleues ont été mises en place dans le centre ville.
Jean-François AUBERT
Conseiller municipal - Délégué au logement social, à l'emploi et au personnel communal
Alexandre JAMET
Conseiller municipal - Délégué au tri sélectif et à l'économie circulaire
"Petit" seulement de par son nom, ce quartier s'étire sur près de 2 kilomètres le long de la rue Charles de Gaulle, avec une alternance de villas et d'habitations où logeait principalement le personnel des blanchisseries implantées là au cours du 19ème siècle.
Ce quartier s'enorgueillit d'avoir un château (fin 19ème siècle), le Château de l'Eglantine où est installé le musée de la Toile de Jouy.
Afin de faciliter l'accès aux places de stationnement à tous les jovaciens au niveau des endroits les plus fréquentés, des zones bleues ont été mises en place dans le centre ville.
Relais de quartier "Les Metz":
Gilles CURTI
1er Adjoint au Maire - Délégué à la sûreté et à la sécurité
Guy BAIS
Conseiller municipal - Délégué aux solidarités, à la petite enfance et aux seniors
Placette des Metz – Réunion publique du 24/09/24 sur les propositions de finition et d’ajustement.
Un an après sa livraison, et en présence d’une trentaine de riverains, le Maire entouré des élus du quartier a proposé un temps d’échange pour procéder aux ajustements à apporter à l’aménagement de la Placette des Metz. Une synthèse des propositions est téléchargeable, et servira de base aux arbitrages qui seront faits d’ici la fin de l’année, en vue d’une mise en œuvre sur l’exercice budgétaire 2025.
Le Plateau des Metz surplombe de ses 90 mètres le secteur de la gare.
On y accédait autrefois par des chemins caillouteux et ravinés, il fallait donc être robuste pour vivre dans ce modeste hameau rural qui comptait seulement une dizaine de maisons au 18ème siècle. Il était entouré de prés, de vignes, de jonchères et de bois.
La partie sud du plateau est métamorphosée vers la fin du 19ème et au début du 20ème siècle avec la construction de villas de style anglo-normand. Puis dans la période suivant la 2nde guerre mondiale, les maisons vont pousser comme des champignons sur ce plateau.
C'est un lieu où il fait bon vivre et où la vue est belle sur la vallée. Pour ces raisons, le quartier des Metz va devenir un lieu de séjour à partir de la fin du 19ème siècle, fréquenté par des personnalités de tous horizons, citons les princesses Murat et Polignac ainsi que Mme de St-Marceaux, égéries des salons mondains parisiens, du monde de la musique et de la littérature, le peintre Chaplin, le philosophe et historien Daniel Halévy, le Docteur Calmette, passionné par son jardin et sa roseraie de la villa de la Garenne des Metz, tout comme Léon Blum qui aimait se promener dans le jardin du Clos des Metz et en admirer les fleurs, particulièrement les lilas qu'il évoqua avec nostalgie dans une lettre écrite pendant sa détention.
Ces grands hommes n'avaient-ils pas trouvé aux Metz leur jardin secret ?
4, rue Léon Blum
78350 JOUY-EN-JOSAS
Tél : 01 39 20 11 11
Relais de quartier "Parc de Diane":
François BREJOUX
Adjoint au Maire - Délégué à la transition écologique et énergétique
Emilie LETAILLEUR
Conseillère municipale - Déléguée au handicap
Relais de quartier "Le Val d'Albian" :
Laurie MANZANO
Conseillère municipale - Déléguée à l'audit des politiques publiques municipales
L’histoire de Jouy-en-Josas nous est connue précisément à partir du IX e siècle, grâce aux écrits des moines de l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés qui défrichèrent les terres. Pourtant, des traces d’occupation attestent d’une première présence humaine dès la préhistoire : silex, stèles gauloises aux Metz, pièces de monnaies mérovingiennes,…
Sous l’impulsion de l’Abbaye, le village faisait preuve de dynamisme (entre 400 et 500 habitants au XI e siècle). Mais avec la diminution du pouvoir de celle-ci, la terre usurpée ou revendue passa aux mains des seigneurs.
Les guerres successives, et surtout la guerre de cent ans et la peste noire décimèrent la population : en 1466, le village ne comptait alors que trois feux.
A partir de la fin du XV e siècle, avec la nouvelle prospérité du village, les seigneuries passèrent à diverses familles qui s’illustrèrent dans les Armes, dans l’Eglise, ou directement au service du Roi : Antoine d’Aquin, médecin de Louis XIV ou son petit fils Antoine Louis de Rouillé, Secrétaire d’Etat à la Marine et aux Affaires Etrangères sous Louis XV.
En 1760, un jeune allemand de 22 ans, Christophe-Philippe Oberkampf, s’installe à Jouy-en-Josas et vient jeter les bases d’une industrie destinée à prendre un merveilleux essor : l’industrie des Toiles de Jouy.
JOUY vient du nom latin Gaudium, écrit successivement Gaudiacum, Gaugiacum, Joviacum, Joïacum puis Gouy ou Goy, et enfin Joï, Joui et Jouy. Notons que Gaudium signifie "Joie".
Beaucoup de villages portaient le nom de JOUY; citons JOUY (Eure-et-Loir), JOUY LE MOUTIER, JOUY MAUVOISIN (Yvelines), JOUY SUR MORIN (Seine-et-Marne).
C'est pour le distinguer de ces villages que l'on adjoignit au bourg de JOUY sur la Bièvre, le nom de la division écclésiastique dans laquelle il se trouvait : le JOSAS (vers le XVe ou le XVIe siècle). Le Josas était l'un des archidiaconés de l'ancien diocèse de Paris, celui qui s'étendait au sud de la Seine, son nom s'est conservé comme suffixe dans les deux communes voisines de JOUY-EN-JOSAS et des LOGES-EN-JOSAS.
Les Yvelines ont été libérées par la 2ème Division Blindée du général Leclerc, du 23 au 25 août 1944.
Le 22 août, les Américains donnent le feu vert pour se ruer sur Paris. La 2ème DB se divise alors en Groupements Tactiques (GT). Le groupement Langlade, chargé d’une mission secondaire de diversion poussera sur l’axe Rambouillet, Dampierre, Châteaufort, Toussus-le-Noble, Jouy-en-Josas, Villacoublay, Bois de Meudon, Pont de Sèvres.
Le 24 août dans la matinée, le sous-groupement Massu du groupement tactique Langlade rencontre une nouvelle poche défensive autour de Toussus-le-Noble.
Puis, l’affrontement se poursuit à Jouy-en-Josas. Après avoir franchi le pont de la Bièvre, les hommes de Leclerc doivent faire face à la défense antichar allemande qui protège les abords de l’aérodrome de Villacoublay.
L’aspirant Zagrodsky, alors qu’il sort la tête de sa tourelle pour repérer et détruire un dispositif antichar placé sur la route du Petit-Clamart, juste face à lui, un «sniper», embusqué l’abat d’un obus de 20 en pleine tête.
Un monument situé carrefour du Petit Robinson à Jouy-en-Josas honore la mémoire de l’Aspirant Zagrodsky et d’autres jeunes combattants, d’origine étrangère, qui ont donné leur vie pour libérer la France.
« Les chars de la 2è DB, couverts de bâches rouges fluorescentes, arrivant du côté de la mairie et se dirigeant vers la gare ; c’est ce rouge flamboyant qui reste gravé dans la mémoire. Sentiment de peur et de frayeur des civils : «et nous», avec la peur de l’abandon. La permanente incertitude de ce qui se passe, la peur de ce qui va arriver. Une rumeur court de bouche à oreille que «dans la Côte de l’Homme Mort il y a eu bagarre». Effectivement, on tire de ce côté, c’est là-bas que le capitaine Zagrodski va trouver la mort. Et brusquement deux obus qui éclatent, des chars qui se renversent, les gens couchés parterre, les vitres volent en éclats, tout paraît brûler, c’est l’enfer, c’est l’angoisse. D’autres chars arrivent de Châteaufort et prennent la route qui va du Petit-Jouy à Versailles, c’est là qu’est décédé le fils Lesieur (huile bien connue). D’ailleurs, l’un des «tigres» (chars) est resté couché sur la route du Petit-Jouy où les habitants et les enfants vont aller l’admirer ultérieurement. En fin de journée arrivent les chars américains et des camions conduits….
Par des français. Quelle surprise ! Le docteur Kurzenne décide que, pour la première fois , la famille va passer la nuit dans la cave. Grande frayeur devant des tirs d’artillerie continus, sans arrêt, le sentiment de ne «pas savoir» ce qui se passe dehors, les allemands dans les bois, peur, incertitude. Et puis, le lendemain matin, grand silence, les allemands partis jusqu’à entendre les vrombissement des chars résonnant amplifié après ce silence. Le docteur est occupé à soigner les blessés, avec, à ses côtés, la fidèle Angèle Moye, son infirmière ; Mme Vantieghem est blessée, par éclats d’obus, dans la soirée, le Dr Kurzenne l’emmène personnellement, avec son vélo, le brancard attaché, à l’hôpital de Versailles (il s’était fait adapter tout spécialement un brancard pouvant être attaché à son vélo afin de pouvoir transporter ses malades). »
« ... L’annonce du débarquement du 6 juin fut pour tous le début d’une grande espérance. Les V de la victoire et les Croix de Lorraine fleurirent sur les murs. Les bombardements s’intensifièrent et les équipes de la Croix Rouge dont je faisais partie se rendaient de plus en plus fréquemment sur les lieux atteints, aux Loges, à Bièvres, Buc, Vélizy et même Versailles afin de «déblayer» et tenter de sauver des vies humaines. Il faut dire que la précision des tirs américains laissaient plus qu’à désirer... ... Courant août 44 le bruit des canonnades devint de plus en plus rapproché. Les allemands commencèrent à évacuer les divers bâtiments et châteaux qu’ils occupaient depuis 4 ans. Quelques jours avant l’arrivée des libérateurs, on crût un matin que les allemands étaient définitivement partis. Nombre de personnes pénétrèrent dans les maisons vidées et commencèrent à récupérer ce qui pouvait l’être... ...Vint enfin le 24 août. Des détonations retentirent venant du centre du village. Les allemands faisaient sauter les aiguillages de la voie ferrée. Peu de temps après, on apprit que le château du Montcel était en feu. En compagnie des pompiers de Jouy, je me rendis sur les lieux afin d’apporter mon aide s’il en était besoin. C’était peine perdue... Devant l’impuissance des pompiers à éteindre l’incendie qui ravageait le château du Montcel, je repartis vers celui du Petit Bois. Hélas, même spectacle de ruines et de désolation. En début d’après-midi le bruit sourd de gros moteurs nous parvînt. Nous devinâmes bien vite qu’il s’agissait de chars et toute la population se retrouva instantanément dans le centre de Jouy. Quelle ne fut pas la surprise générale de constater que les soldats qui nous libéraient parlaient français. Il s’agissait bien sûr de l’avant-garde de la Division Leclerc. Ce fut pour les gens qui ont vécu ces moments inoubliables une explosion de joie indicible. Les larmes coulaient le long des joues de certains, surtout des Anciens. Comme par enchantement les drapeaux tricolores confectionnés en cachette pendant les heures sombres ornèrent bientôt les façades. Cependant certains de nos libérateurs étaient blessés. Une infirmerie de fortune fut organisée à la Mairie de Jouy et mon père, médecin, y prodigua des soins tout au long de la journée pendant que la longue colonne de chars et de camions, un instant arrêtée dans le centre du village. »
24 août 1944
8h00 : Ils sont encore 7 à 8 «boches» dans le château. Des ordres sont criés, affairement des soldats. Ils s’en vont avec leur fusil ? Serait-ce déjà la Libération ???
8h20 : Tout à coup, des explosions retentissent du côté de la gare du chemin de fer : 8, 10, 15 20 ??? toutes très violentes. La peur nous tenaille tous ! D’immenses flammes jaillissent maintenant du côté du Grand Château : explosions sur explosions... C’est l’enfer !
9h-9h45 et jusqu’à 11h : L’enfer continue. Maintenant ce sont les châteaux. Celui du Petit Bois saute et brûle. Puis celui du Montcel. Les détonations se succèdent, il y a des retombées d’éclat partout. L’enfer continue.
11h30 : Accalmie ! Les dynamitages semblent prendre fin.
11h40 : Un camion militaire allemand est entré par la Grille d’Honneur, dans la propriété.
13h20 : Nous sommes tous dans la cave de l’Orangerie, dans l’attente de l’explosion du Grand Château.
13h25, 30, 35, 40 : Rien... rien, ne saute... Finalement, nous revenons chez nous. Et tout à coup, c’est frappant, un calme écrasant se fait. Il ne semble plus y avoir de bataille. Dans la rue, des voix allemandes vocifèrent, crient des ordres.
13h55 : Avec Philippe ; perchés sur le mur surplombant la rue, nous regardons, écoutons, scrutons. Tout à coup ; nous apercevons des soldats. J’aperçois la Croix de Lorraine sur le casque de l’un d’eux. Je crie à tue-tête : «Les Voilà, les voilà !». Je suis fou, fou... Ils sont là, et ce sont des français, ils parlent français !
Les chars débouchent de deux endroits simultanément, venant de Saclay, où la bataille faisait rage tout à l’heure, et des Loges-en-Josas. Nous n’avons pas attendu pour descendre de notre perchoir. On est fous... fous de joie ! Nous courons les voir : ce sont des Français de l’Armée Leclerc ; comment est-ce possible ? Déjà la place du village est pleine de monde, tout s’y mêle, chars, automitrailleuses, Dodges... On grimpe sur les chars, on parle aux soldats. Un soldat monte sur le faîte de l’Eglise et hisse un drapeau français.
14h20 ou 14h30 : Bien sûr la bataille a été dure, tant dans la côte de Versailles que dans les bois de l’Homme Mort. Elle coûta la vie à 21 soldats des 2 camps et 5 chars de l’Armée Leclerc durent détruis.
25 août 1944
12h à 17h : L’ après-midi est consacré à récupérer les vivres encore consommables, après de dynamitage du Petit Salon. Ils sont portés à la mairie, pour être distribués aux habitants de la commune qui manquent de tout.
Au dîner : Nous sommes tous muets, fourbus, «écrasés de fatigue» à cause d’évènements si forts. Et voilà que je me rends compte que c’est le premier jour où je n’ai pas eu à présenter mon «Ausweis» (laissez passer) à une sentinelle allemande pour pouvoir circuler. Bien sûr, ces journées allaient marquer nos esprits pour toujours. Mais sur le moment, une seule chose importait :
JOUY ETAIT LIBRE ! JOUY ETAIT EPARGNE, marqué, bléssé mais LIBRE !
Finis l’occupation, les Boches, les brimades, les représailles... c’était
LA LIBERATION !
A la fin du XVII e siècle, l’Europe découvrait et adoptait les belles cotonnades peintes de fleurs et d’animaux aux couleurs vives , importées de l’Inde grâce aux grandes compagnies de navigation. Mais une concurrence sévère entre les manufactures traditionnelles de soie et de coton amena Louis XIV à décréter l’interdiction d’importation de fabrication dans tout le pays.
En 1759, avec la levée de cette interdiction, de nombreux étrangers, derniers possesseurs d’un réel savoir-faire en la matière, s’installèrent en France.
Parmi eux, Christophe-Philippe Oberkampf, graveur et coloriste du Wurttemberg, accepta la proposition de Tavannes de fonder une manufacture dont il serait directeur.
Jouy-en-Josas aurait été sélectionnée pour la qualité de son eau. La fabrication débuta en 1760, dans la petite maison du Pont de Pierre (actuelle école de musique).
Grâce à l’ingéniosité d’Oberkampf, la manufacture devint alors la plus grande manufacture d’Europe, employant 1237 personnes en 1821.
Oberkampf bénéficia de la proximité de la Cour de Versailles, passa au travers de la tourmente révolutionnaire, connut une prospérité étonnante sous le Consulat, et fut décoré de la Légion d’Honneur par Napoléon lui-même. En revanche, son entreprise subit de plein fouet la chute de l’Empire.
Jouy-en-Josas qui était alors un village devint un bourg que la fermeture de l’usine aurait ruiné si le goût de la villégiature n’avait attiré dès le milieu du XIX e siècle, une population nouvelle.
Oberkampf a été le premier Maire de Jouy-en-Josas et son beau frère, le premier Secrétaire de Mairie. Il reçut des hôtes célèbres dans sa maison, transformée en Hôtel de Ville depuis 1899. : le nonce du Pape, Marie-Antoinette et ses enfants, les impératrices Joséphine et Marie-Louise, et les grands savants Monge, Laplace, Lagrange, Chaptal, Gay-Lussac… intéressés par la chimie qu’employait alors la manufacture de toiles.
D’Azur à la colonne d’argent, sommée d’un coq du même,
crêté et barbé de gueules, chargé de trois quintefeuilles d’or.
Le blason reprend la devise de Christophe-Philippe Oberkampf, « Recte et Vigilenter », « Droiture et Vigilance ».
Le Blason de Jouy-en-Josas s’inspire du blason de Christophe-Philippe Oberkampf, premier Maire de la commune.
Les trois annelets d’or figurant initialement sur le chef (bandeau) ont été remplacés par trois quintefeuilles d’or, jugées plus décoratives, empruntées au blason de la famille Mallet, dont les membres sont des descendants de Christophe-Philippe Oberkampf.
Pour éviter toute confusion avec une colombe ou un aigle, le coq représenté les ailes étendues sur l’ancien blason apparaît ici les ailes repliées.
Le nouveau logo de Jouy
Un blason présente toujours un aspect statique. C’est une représentation du passé, de ce qu’a été la ville, qui passe par des figures imposées dans la science appelée « héraldique ».
Mais une ville n’est pas un musée.
Nous avons donc souhaité apporter une dimension dynamique, énergique, à sa « marque » afin d’inscrire la ville dans l’action et dans l’avenir, tout en la voulant attachée à ses racines.
Même si nous avons choisi de reprendre les éléments le composant, cette nouvelle représentation du blason n’est qu’un « logo ». Les armes de la ville ne peuvent pas être modifiées, elles font partie de notre histoire et de notre patrimoine.
Posté sur sa colonne, le coq à la silhouette élancée prend, quant à lui, une posture fière et volontaire. Son bec ouvert montre sa volonté de faire entendre sa voix. Son attitude donne tout le dynamisme et l’énergie évoqués plus haut.
Le dynamisme et la modernité sont également représentés de manière évidente par le traitement « enlevé » de l’écu. C’est un trait, une griffe ou une trace, qui apporte le mouvement à l’ensemble.
Rubrique réalisée en collaboration avec le Groupe de Recherches Historiques.
Vous y trouverez des informations concernant les rues de Jouy-en-Josas : leur histoire, l'origine de leur nom, des photos anciennes et récentes... Cette rubrique s'enrichira progressivement de toutes les rues de la commune.
Appelée autrefois "Grande Rue" ou encore "Rue de Jouy", cette rue prend le nom du fondateur de la Manufacture de Toiles peintes, Christophe Philippe Oberkampf, sur décision du Conseil Municipal en 1845. Depuis des siècles rue principale du village, elle fait partie, avec celles entourant l’église, des rues les plus anciennes. Pont de liaison entre les deux versants de la vallée de la Bièvre, donnant accès à la "place de l’Eglise", sa situation en fait, depuis longtemps, une rue passante et commerçante.
La rue Oberkampf vue des remparts, au fond, on aperçoit le bâtiment de la Mairie :
Le tracé de la rue et la disposition des maisons n’ont guère changé, hormis à ses extrémités, car des travaux vont être entrepris pour améliorer l’accès. En 1780, la partie Sud de la rue, côtoyant la place de l'Eglise, est raccordée à la "route d’Orléans" (actuelle rue de la Libération) après démolition de plusieurs maisons. Ce nouveau tronçon longe le mur de soutènement de cette route, mur appelé "les remparts". En 1856, la partie Nord de la rue est prolongée jusqu'à la nouvelle rue transversale créée en même temps (actuelle avenue Jean Jaurès).
L'Eglise Saint Martin vue depuis la route d'Orléans (rue de la Libération) et le mur de soutènement ("les remparts") :
La rue Oberkampf est pavée en 1868, puis sont installés l’eau courante aux fontaines (1890), l’éclairage public au gaz et ensuite à l’électricité (entre 1900 et 1920).
Quoique très remaniées, de nombreuses maisons de la rue Oberkampf remontent au 18ème siècle. Le passé de certains édifices est lié à Oberkampf.
En 1900, la rue Oberkampf compte :
L'auberge "l’Ecu de France", maison ancienne récemment restaurée s'appela d’abord "l’Auberge de l’Ecu".
Elle fut construite en 1766 dans le cadre de l’ensemble des bâtiments de la Manufacture. Maison d’habitation, elle est en plus un siège social, un lieu de décisions et le centre de la vie municipale dans la période pendant laquelle Oberkampf est maire de Jouy, sous la Révolution (1790-1793). En 1899 la maison est achetée par la municipalité au Baron Cabrol de Mouté (apparenté à la famille Oberkampf) et devient Mairie et Ecole des Filles. La cloche qui rythmait le travail des ouvriers de la Manufacture est dressée dans la cour, non loin de la statue du «maître » inaugurée en 1900. Depuis, la Mairie a connu bien des transformations, la plus notable sera celle de son agrandissement par un bâtiment moderne, dont les travaux ont débuté en 2005.
En 1774, Oberkampf achète au « Sieur Révérend, avocat au Parlement, conseiller référendaire en la Chancellerie du Palais de Paris », les deux premières maisons (aujourd’hui de n°1 à n°7, côté gauche de la rue en partant de la mairie) qu’on appela longtemps "les maisons Révérend ". Après la période révolutionnaire et jusqu’en 1839 la mairie occupait des locaux dans la première de ces maisons dite, dans les actes notariaux, « l’ancienne mairie ». Démolie et reconstruite dans l’alignement de la rue, cette maison est actuellement une pharmacie. La deuxième maison fût occupée par Oberkampf d’abord en qualité de locataire : de 1761 à 1767 il y installa, au rez–de-chaussée, une imprimerie pour ses toiles et , au premier étage, son logement. Actuellement le rez-de-chaussée de cette maison est occupé par un Institut de Beauté et une agence de la Caisse d’Epargne.
En 1773, Oberkampf s’est rendu acquéreur des trois premières maisons du côté droit de la rue (en partant de la mairie). La première, qui n’est plus celle d’origine, était appelée "la maison du moulin" et était la propriété du meunier. Cette maison a vu l'installation en 1974 d'une partie de l'école municipale de musique, créée fin 1971 dans le sous-sol de la Mairie par Monique LE SAINT, ainsi que plusieurs associations dont le Football. Actuellement, cette maison est louée à un laboratoire d’analyses médicales. A l’arrière de ces maisons se trouvait, mu par les eaux de la Bièvre, "le Moulin de Jouy" (ou "Moulin Quentin", du nom d’une dynastie de meuniers), ancien moulin seigneurial flanqué d’une tourelle ronde, à toit conique, contenant un escalier en colimaçon (description de 1678). En 1761, Oberkampf loue ce moulin au seigneur de Jouy, le marquis d’Harcourt Beuvron. Il utilise sa force motrice pour animer une machine à calandrer et des pilons pour broyer ses produits de coloration. En 1773 il en devient le propriétaire. Après la mort d’Oberkampf et la vente, par son fils, des biens de la manufacture, le nouveau propriétaire, J.J. Barbet, futur Barbet de Jouy, fait démolir le moulin, en 1828, et construire une minoterie "à l’anglaise" pour moudre à nouveau du blé. En 1907, les fonctions nourricières du moulin se terminent définitivement. Il est intégré dans une usine de produits chimiques, l'Usine Agostini (puis Decamps) qui s’implante à Jouy, et dont les ateliers s’étendront au fil des ans sur le site compris entre les voies de chemin de fer et le bief du moulin. L'usine fermera ses portes en 1968.
Le Moulin intégré à l’Usine Agostini (vers 1906) et le Moulin aujourd’hui (vu de la Mairie) :
En 1972 la ville de Jouy devient propriétaire du site, rase les ateliers mais conserve le moulin avec le projet de construire sur les 12 000 m2 libérés un programme immobilier.
Le projet est abandonné et laisse place à un parking de centre ville et à des espaces verts, les "Jardins d’ Oberkampf", inaugurés en 1976.
Familièrement appelé "Le Vieux Moulin", ce bâtiment a abrité un atelier-école de Tissage en 1974, l’ Imprimerie du Vieux Moulin, et la Bibliothèque de l'Association des Familles.
La "Maison des sœurs" est la dernière maison située à l’angle de la rue Oberkampf et de la rue de la Libération. Elle fut bâtie en 1781, par le seigneur de Jouy, pour les sœurs de Charité de la congrégation de Saint-Lazare, établies dans la paroisse de Jouy au XVIIème siècle. Les religieuses prenaient soin des pauvres, soignaient les malades et tenaient une école pour les filles. Elles sont chassées fin 1793 (sous la Convention) par le "Conseil Général de la commune de Jouy" (Conseil Municipal) qui décide que "la maison sera à la disposition de la commune". Ultérieurement, la mairie sera transférée dans la maison Révérend.
Adossé au mur de soutènement de la Rue de Libération, il serait "l’un des plus originaux de France", a-t-on pu écrire. Construit en 1922, il est oeuvre de l’architecte Georges Vaudoyer, membre d'une lignée de grands architectes, lequel possédait une résidence aux Metz. Le monuments abrite une plaque de marbre sur laquelle sont gravés les noms de 52 soldats morts pour la France au cours des guerres de 1914-1918 et de 1939-1945.
Anciennement place de l'Eglise, elle a pris son nom après la Libération, car le 24 août 1944, un détachement de la 2ème Division Blindée fit mouvement vers Jouy-en-Josas.
Les blindés de la section Maret arrivèrent par la rue Million et stationnèrent sur cette place, avant de reprendre le combat. Il était 13h35. les volets s'ouvrirent et les jovaciens accoururent pour fêter leurs libérateurs.
Au 18ème siècle, on trouve encore à son emplacement "l'ancien cimetière", mais, le temps passe… et la place devient parking à partir des années 60'. Elle est réaménagée par la municipalité, en 1997 et redevient ainsi un lieu de rassemblement et de rencontre.
La rue desservait "le grand cimetière" dans lequel se trouvait la chapelle Saint-Jacques situé au 18ème siècle sur le côté nord de la rue, approximativement en face de l'actuelle rue Pétineau puis le "nouveau cimetière" (cimetière actuel) crée en 1805.
La rue Sainte Roch se termine sur une note plus gaie avec des équipements sportifs : le stade d'entraînement Pierre Jeanrenaud (qui date de 1983) et le Centre Sportif et Associatif (CSA), inauguré en 1997.
A l'angle des rues Saint-Roch et Million, on peut toujours voir la "maison Louis XIV", dont le nom évoque plus un style qu'une époque.
Cette rue, parallèle à la rue Oberkampf, est également l'une des plus anciennes de Jouy. Elle permit au village de s'étendre vers l'est. Elle porte son nom depuis 1845.
Lors de la construction de la ligne de chemin de fer, vers 1880, le bas de la rue est dévié vers le passage à niveau nouvellement construit. Une passerelle enjambant la ligne de chemin de fer est construite dans l'alignement de la rue pour permettre de rejoindre l'ancienne mairie et les écoles. Elle sera détruite en 1910.
Jacques François Pétineau (Paris 1763-Paris 1857) était le beau-frère d'Oberkampf et son bras droit à la Manufacture. Il occupe la fonction de maire de Jouy de 1793 à 1819 et celle de Conseiller général sous l'Empire. Il fait don aux pauvres de la commune d'un terrain longtemps appelé "Jardin des Pauvres".
Au n° 3 de la rue la façade de la maison abrite une niche avec une statue de la Vierge, d'où le nom de "Ave Maria" donné longtemps à cette maison et à la rue.
La Résidence Pétineau, située le long de cette rue, a été inaugurée en 1967.
- Des commerces. Il existait au n°28, l’ancien cinéma « le Portique », ouvert de 1940 à 1960 (dates approximatives).
- Au n°38, le café restaurant Le Robin des Bois, construit vers 1882, qui s’appelait l’hôtel de la Gare, guinguette à la « Belle Epoque.
- L’hôtel des postes inauguré en 1975
- L’école primaire Emile Mousseau, ouverte en 1955, qui porte le nom de celui qui fut presque 30 ans le maire de Jouy-en-Josas. Il assuma notamment la difficile période d’occupation allemande.
- L’école maternelle, ouverte en 1987, qui porte le nom de Jacques Toutain, maire de Jouy-en-Josas (1970-1985).
- Le centre commercial ouvert en 1995, installé dans les chais construits en 1947 par M. Marteau, négociant en vins.
Cette place créée en 1878 était la « place des Fêtes » de Jouy puis elle devint la place Jean Jaurès vers 1920, puis la place de la Marne en 1926, en souvenir des deux batailles victorieuses de la Marne de 1914 et de 1918.
En 1937, un marché couvert est construit sur la partie nord de la place. Transformé en 1972 en salle polyvalente, il prend le nom de « Salle du Vieux Marché », tandis qu’un petit marché couvert est installé sur le côté gauche de la place, en 1973. Fidèle aux traditions jovaciennes, la place reste le cœur des animations culturelles de la ville. La salle du Vieux Marché, après d’importants travaux de réhabilitation et de modernisation, a été inaugurée par le Maire, Monique Le Saint, à l’occasion de la fête de la Musique, le 21 juin 2006.
Un bâtiment communal comprenant une halte garderie est construit en 1972, puis une mini crèche en 1984.
Une place circulaire existait à l’intersection avec la rue du Temple. Pour permettre l’édification de la gare et de ses accès, elle est supprimée, en 1878, et remplacée par l’actuelle place de la Marne.
La gare, à l’architecture caractéristique du réseau de la Grande Ceinture, fut ouverte en 1883. Elle a retrouvé une deuxième jeunesse grâce aux travaux de rénovation réalisés par l’Association de réinsertion « Chantiers de France » en 2001.
En 1934 la société des Chemins de Fer cède à la commune une bande de terrain située le long de la voie ferrée et l’avenue Jean Jaurès , comprise entre la maison de garde barrière de la rue Oberkampf et la place de la gare.
La municipalité y crée un square qui est réaménagé en 1973 pour permettre à la Bièvre de couler à ciel ouvert.En 1986, une aire de jeux pour jeunes enfants est aménagée. Les travaux exécutés permettent la mise en valeur de deux pierres mémoriales rappelant qu’à cet endroit, le 20 juin 1806, l’Empereur Napoléon I décora Oberkampf de sa propre Croix de la Légion d’Honneur.
En 1982 le square prit le nom de Sarrasin Demaraise, associé providentiel d’Oberkampf pendant 27 ans, de 1762 à 1789. Ses compétences d’avocat et de juriste et son apport de capitaux dans la société permirent le développement de la Manufacture des toiles imprimées.
Les deux plus anciennes maisons de la rue sont :
1 : celle de la boulangerie, au n°5, première maison construite (entre 1851 et 1854) qui abrita, en 1901, la boulangerie Pinault
2 : celle située à droite de l’entrée de la rue de la Vieille Poste, dernier vestige de l’école privée Jeanne d’Arc qui accueillit des élèves filles de 1900 à 1983. Les bâtiments furent détruits en 1988 pour la construction de maisons de ville
La maison d’angle avec la rue du Dr. Kurzenne était le « Café de l’Espérance » :
Le Bureau de Bienfaisance et son école de filles créés grâce au legs Oberkampf, tenus de 1826 à 1883 par les sœurs de charité de la Providence de Portieux (localisation approximative)
Propriété des moines de l’Abbaye de Saint Germain des Près, dès le IX° siècle, le domaine du Montcel passe, au XVI° siècle, aux mains de la famille Escoubleau de Sourdis, seigneur de Jouy. L’hôtel seigneurial et les dépendances se trouvent alors sur un domaine de 12 hectares.
C.Ph. Oberkampf, patron de la Manufacture, l’achète en 1795 et réalise des travaux d’agrandissement.
Le Montcel reste dans la famille Oberkampf/Mallet jusqu’en 1923 quand, acheté par les frères Jeanrenaud, il devient une école de haute renommée.
Pendant la guerre, l’armée allemande s’installe au Montcel (1940 - 1944) et n’hésite pas à incendier le château avant de prendre la fuite, le 24 août 1944.
L’école est rouverte après la Libération et continue de fonctionner jusqu’en 1980.
Depuis, le Montcel connaîtra des vocations diverses, dont l’installation de la célèbre Fondation Cartier (1984-1993).
- ARCHIVES communales de Jouy-en-Josas, 1S1 terrier de la seigneurie de Jouy-en-Josas, 1765
- WIDMMER Gottlieb, Mémorial de la Manufacture, manuscrit, collection privée, 1859
- DUREAU, Monographie historique communale de Jouy-en-Josas, par, l’instituteur de la commune, 1900
- CLERC Lucien, l’Histoire de Jouy-en-Josas, monographie manuscrite, 1943 (pour diplôme d’instituteur à l’Ecole normale de Versailles)
-
Registres des procès-verbaux de délibérations du Conseil Municipal, MAIRIE de Jouy-en-Josas
OBERKAMPF Christophe Philippe
1790 - 1793
PETINEAU Jacques
1793 - 1820
Baron OBERKAMPF Emile
1820 - 1823
BARBET DE JOUY Jacques
1823 - 1840
MALLET Jules
1840 - 1848
LOISEAU Simon
1848
MALLET Jules
1848 - 1855
MALLET Alphonse
1855 - 1868
Baron DE CABROL DE MOUTE
1868 - 1879
GILLETTE François
1879 - 1881
PLET Jules
1881 - 1896
GILLETTE François
1896 - 1897
JEAN Edmond
1897 - 1900
MOORE Jules
1900 - 1901
BERTSCH Henri
1901 - 1911
GIBERTON DUBREUIL Guy Raphaël
1911 - 1919
PANNETIER Julien
1919 - 1925
VAUTIER Emile
1925 - 1929
LANCELIN Gaston
1929
MOUSSEAU Emile
1929 - 1944
ALLAVOINE Robert
1944 - 1945
MOUSSEAU Emile
1945 - 1946
LACOSTE Jean-Baptiste
1946 - 1947
MOUSSEAU Emile
1947 - 1959
BERGER Mathieu
1959 - 1962
JEANRENAUD Pierre
1962 - 1970
TOUTAIN Jacques
1970 - 1985
LE SAINT Monique
1985 - 2008
BELLIER Jacques
2008-2020
AUBERT Marie-Hélène
Depuis 2020
Léon Blum est né le 9 avril 1872 à Paris, d’une vieille famille juive originaire de Westhoffen au sud ouest de Strasbourg.
Homme politique français entré au Conseil d'État en qualité d'auditeur, Léon Blum publia des travaux de critique littéraire et dramatique. Marqué par l'affaire Dreyfus, qui détermina son entrée en politique, il s'inscrivit au parti socialiste en 1899 et fut avec Jean Jaurès l'un des fondateurs du journal l'Humanité.
Député de 1919 à 1928 et de 1929 à 1940, il participa au Congrès de Tours et choisit de rester membre de la SFIO (Section française de l'Internationale ouvrière) contre la minorité communiste.
Partisan d'un socialisme réformiste et humaniste, Blum, sans rien renier de l'analyse marxiste, fondait davantage d'espoir sur une transformation progressive de la société que sur la rupture révolutionnaire. Dans les années 1930, marquées par la montée en puissance des régimes autoritaires et des discours nationalistes, il s'engagea résolument dans une stratégie d'alliance avec les communistes et les radicaux, qui aboutit à la constitution d'un gouvernement dit de Front populaire (1936).
Président du Conseil, Blum entreprit un vaste mouvement de réformes politiques et sociales : la semaine de travail fut réduite à quarante heures, les premiers congés payés institués (douze jours ouvrables par an), des augmentations de salaires accordées et les conventions collectives encouragées. À ces réformes sociales s'ajoutèrent des réformes économiques et financières. Il dirigea un dernier gouvernement provisoire de décembre 1946 à janvier 1947 à qui échut la charge d'achever la mise en place des institutions de la IVe République naissante. La maladie le tint ensuite à l'écart du pouvoir jusqu'à sa mort.
La tombe de Léon Blum, lieu de mémoire et de recueillement est située dans la partie haute du cimetière de Jouy en Josas.
Cette tombe est visible tous les jours de l'année aux heures d'ouverture du cimetière.
Après la mort de sa deuxième épouse, Léon Blum s'est beaucoup rapproché de sa petite cousine "Janot", qui éprouve à son égard un grand attachement.
Elle parviendra à le rejoindre à Buchenwald en 1943, et à l'épouser en captivité.
Après la libération, ils reviennent s'installer à la maison du Clos des Metz, à Jouy-en-Josas, que Jeanne Blum avait achetée en 1938.
Maison de Jeanne et Léon Blum : en savoir plus
A la mort de Léon Blum, Jeanne, élève de Piaget, se consacre à une longue recherche et réalise des enquêtes qui l'amènent à élaborer une méthodologie de communication et d'expression. Elle présente une thèse à ce sujet en 1980 : "L'homme évanescent".
Sa méthode dite de Complémentarité Horizontale est appliquée dans l'école Jeanne Blum, qu'elle fonda en 1974 à Jouy-en-Josas, et qui continue aujourd'hui encore, avec un taux de réussite exceptionnel, à faciliter l'accès aux carrières paramédicales à de nombreux jeunes en difficulté.
Ecole Jeanne Blum : en savoir plus
Ecrivain français qui fut le chef de file du romantisme et qui domina par son génie tout le XIXe siècle français. Poète, romancier, dramaturge, critique, Victor Hugo est, certes, un auteur d'une stature incomparable et inégalée.
Victor Hugo fut peut-être de tous les écrivains français le plus remarquable par la longévité de son inspiration et par sa parfaite maîtrise technique. A Jouy-en-Josas, dans le quartier des Metz, en 1834, Victor HUGO loua une maisonnette pour abriter son idylle avec Juliette DROUET. Cette liaison inspire au poète les strophes inoubliables de la Tristesse d'Olympio.
Médecin et bactériologiste français qui fut l'un des inventeurs du vaccin contre la tuberculose.
Né à Nice, en 1863, il devint médecin de la Marine et fonda en 1891 l'Institut bactériologique de Saigon qu'il dirigea. De retour en France, il créa l'institut Pasteur de Lille et devint professeur de bactériologie à la faculté de cette ville. Ses travaux ont porté sur l'étude des venins des serpents et la sérothérapie antivenimeuse.
Le Docteur Calmette et son épouse reposent dans le parc de la propriété Bourget-Calmette.
Leur tombe est située dans la partie gauche du parc, sous les arbres, près d’une chapelle.
Il développa et perfectionna plusieurs procédés de vaccination, notamment celui contre la tuberculose avec son confrère bactériologiste et vétérinaire Camille Guérin (1872-1961).
Ces deux chercheurs ont donné leur nom au célèbre vaccin antituberculeux Calmette-Guérin, le BCG. (Bacille de Calmette-Guérin).
Albert Calmette a également apporté sa contribution à la mise au point d'une sérothérapie contre la peste et à une meilleure compréhension de l'ankylostomiase, une grave maladie parasitaire. Membre de l'Académie des sciences en 1927, il est auteur de nombreux ouvrages sur la bactériologie, la biochimie et l'hygiène.
Général et aide de camps de Louis Napoléon Bonaparte, il participa à la conquête de l’Algérie. Il fut promu Maréchal de France après ses exploits en Crimée.
Il fit construire le Château de l’Eglantine, actuel Musée de la toile de Jouy.
André Chanu nous a quittés le 12 décembre 2008.
André Chanu découvre la vallée de la Bièvre grâce à son amie Annie Cordy et acquiert en 1958 une résidence modeste au Val d'Albian qu'il agrandit au fil du temps. Chaque fin de semaine, il vient se ressourcer dans ce havre de verdure et montre de plus en plus d'intérêt pour la vie locale. D'abord conseiller municipal dans l'équipe de Pierre Jeanrenaud, il devient Maire-adjoint de Jacques Toutain en 1971 et reste son ami fidèle et dévoué jusqu'à sa disparition brutale en 1985.
Maire-adjoint de Jouy-en-Josas de 1971 à 1987, il laisse le souvenir d'un fidèle serviteur, désireux d'apporter aux habitants de la commune une dimension culturelle riche variée. Son milieu professionnel et ses nombreuses relations lui permettent d'organiser de nombreux évènements festifs tels que les « Réjouissances en Josas ».
Ainsi, les Tréteaux de France font régulièrement étape dans notre commune. .
Doté d'une immense culture, il laisse le souvenir d'un homme respectueux, tolérant et entièrement dévoué aux autres.
Immortalisée par la célèbre affiche de Henri de Toulouse-Lautrec, cette figure du Paris populaire au XIX eme siècle vivait dans le centre ville de Jouy-en-Josas.
Vera Moore est une pianiste originaire de Nouvelle-Zélande, mais dont une partie de la vie se déroula en France.
Élève de Leonard Borwick, lui-même disciple de Clara Schumann, elle acquit une réputation internationale dans les années 1920-1930, notamment par ses interprétations de Frédéric Chopin et de Claude Debussy. Elle compte parmi ses élèves Pierre-Alain Volondat, lauréat en 1983 du Concours musical international Reine-Élisabeth-de-Belgique.
Vera Moore a vécu aux Metz durant de nombreuses années, dans une maison située prés de la mare des Metz.
L’écrivain passa son enfance à Jouy-en-Josas. Son œuvre littéraire est riche de références à différents endroits du village qu’il a si bien connu : la place de la gare, la rue du Dr Kurzenne, le collège du Montcel (aujourd’hui transformé).
Bibliographie :
Dans la BD "SOS Météores", on retrouve Blake et Mortimer, les héros de Edgar P. Jacobs dans la vallée de la Bièvre, notamment à Jouy en Josas, Buc et Les Loges en Josas.
Communauté d’Agglomération de Versailles Grand Parc
6 avenue de Paris - CS 10922
78009 Versailles cedex
Tél. : 01 39 66 30 00
Courriel : contact@agglovgp.fr
www.versaillesgrandparc.fr
Du lundi au vendredi, de 9h à 12h et de 14h à 17h
La communauté d'Agglomération de Versailles Grand Parc a été créée le 1er janvier 2003.
La Communauté d’Agglomération compte près de 270 000 habitants. Étendu sur 12 400 hectares et 18 communes, le territoire de Versailles Grand Parc, dont la ville centre est Versailles, s’articule autour de trois bassins de vie :
. La Plaine de Versailles au nord-ouest : Bailly, Bois d’Arcy, Fontenay-le-Fleury, Noisy-le-Roi, Rennemoulin et Saint-Cyr-l’École
. Le centre urbain : Bougival, La Celle Saint-Cloud, Le Chesnay-Rocquencourt, Vélizy-Villacoublay, Versailles et Viroflay
. La vallée de la Bièvre et le Plateau de Saclay au sud-est : Bièvres, Buc, Châteaufort, Jouy-en-Josas, Les Loges-en-Josas et Toussus-le-Noble
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La Présidence de la Communauté d’Agglomération est exercée par François de Mazières, Maire de Versailles. Les 18 autres maires, dont Mari-hélène Aubert, Maire de Jouy-en-Josas, sont Vice-présidents et se partagent l’animation de 6 commissions techniques.
Les 2 conseillers communautaires représentant Jouy-en-Josas sont :
- Marie-Hélène AUBERT
- Gilles CURTI
Une Communauté d’Agglomération exerce en lieu et place des communes membres un certain nombre de compétences définies par la loi du 6 février 1992 relative à l’administration territoriale de la République.
La Communauté d’Agglomération de Versailles Grand Parc exerce les compétences suivantes :
• Le développement économique
• L'aménagement de l'espace communautaire
• La protection et la mise en valeur de l'environnement
• Les déplacements
• La politique de la Ville
• La gestion d'équipements culturels et sportifs
• L'approvisionnement en eau potable
• L'assainissement et GEMAPI
• La politique de l'habitat
• Les aires d'accueil des gens du voyage
• La fourrière animale
Eau potable, eaux usées, eaux pluviales ou rivières, ces sujets sont traités par la communauté d’agglomération de Versailles Grand Parc, les compétences ayant été transférées par la commune à l’Agglo.
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Toute l’actualité économique de Versailles Grand Parc et de la Maison des entreprises sont dorénavant regroupées au sein d’un seul et unique portail.
Le budget 2021 sera voté le 6 avril 2021 par le conseil communautaire. Il s’agit de la traduction financière des orientations politiques.
Lors du Débat d’Orientation Budgétaire présenté au conseil communautaire du 9 février 2021, les orientations suivantes ont été fixées :
- La bonne gestion des finances de l’intercommunalité (stabilité fiscale depuis 2010, maîtrise des dépenses et de l’endettement, mutualisation) et l’exercice des compétences propres avec un haut niveau de services (déchets, enseignement musical, transports collectifs routiers, vidéoprotection)
- L’aide à l’effort d’investissement des communes : versement de fonds de concours dans le cadre du retour incitatif et du Plan de Développement Intercommunal, pistes cyclables
- L’accompagnement dynamique de l’intercommunalité dans l’exercice des compétences communales : recherche de subventions, expertise auprès des communes
- La poursuite de grands investissements structurants sur la Plaine de Versailles (Moulin de Saint Cyr, Halte du tram 13 Allée Royale de Villepreux) et sur les Zones d’activités économiques
- La reconduction d’un endettement de précaution
Au 1er janvier 2021, Versailles Grand Parc n’a pas de dette. Le BP 2021 devrait s’équilibrer avec une inscription prévisionnelle d’emprunt de 6,1 Millions d’euros identique à ce qui avait été prévu en 2020, mais non mobilisé.
Pour en savoir plus...
Le recueil des actes administratifs (RAD) est consultable sur son site.
VGP publie la 3ème édition du guide des métiers d'art. Ebénistes, bijoutiers, encadreurs, luthiers, céramistes, tapissiers, sculpteurs, ils sont plus d'une centaine d'artisans d'art sont à découvrir dans cette nouvelle édition.
Vous exercez un métier d'art à Jouy-en-Josas et souhaitez figurer sur le site Internet, contactez le service du développement économique.
Les entreprise peuvent faire acte de candidature en remplissant un dossier à retirer sur le site (ou auprès de la Direction du Développement Economique de Versailles Grand Parc).
Découvrez près d’une centaine de monuments, de musées, de lieux de culte, de parcs et de jardins remarquables !
Pour témoigner de la richesse et de la diversité de son territoire, Versailles Grand Parc a réuni tous ces sites sur une carte interactive.
Par ce vote, les élus communautaires tiennent à rappeler certains points sur lesquels ils sont particulièrement vigilants et ce, à quelques semaines de la présentation au Sénat du projet de loi sur le Grand Paris :
- Gouvernance du nouvel Etablissement public Paris Saclay : la communauté d’agglomération demande une représentation majoritaire des élus locaux.
- Protection des espaces naturels et agricoles : la communauté d’agglomération demande que soient préservés au minimum 2300 ha de surfaces agricoles utiles (et non "environ" 2300 ha comme le stipule le projet actuel) et dans des conditions pérennes d'exploitation. En outre, les décrets de protection devront intervenir dans un délai maximum de 12 mois à compter de la promulgation de la loi et avant toute création de nouvelle zone d'aménagement concerté (ZAC).
- Transports en commun : Versailles Grand Parc demande l’abandon de la création du Syndicat Mixte spécifique. Ce nouvel organisme s’ajoutant au STIF n’est pas jugé adéquat.
- Equipements publics et infrastructures : les élus souhaitent qu’une programmation globale des investissements devant précéder ou accompagner l’aménagement sur le périmètre de l’OIN, soit négociée dans un délai raisonnable entre l’Etablissement public Paris-Saclay, les collectivités locales du territoire et leurs groupements.
Tout en confirmant leur adhésion au projet, les élus précisent que son succès repose sur les principes suivants :
- une pleine association des collectivités locales du territoire à la définition du projet et à sa mise en oeuvre
- une approche de développement durable volontariste et exemplair
- la préservation et la mise en valeur des terres agricoles et des espaces naturels
- un développement ambitieux et équilibré de tous les pôles du périmètre de l’Opération d’Intérêt National
- un renforcement des réseaux de transports pour améliorer l’accessibilité et la desserte de ces différents pôles.
La commune de Jouy-en-Josas participe aux Etablissements Publics de Coopération Intercommunale (EPCI) suivants :
Syndicat Intercommunal d’Aménagement Jouy-Vélizy
Mission : gestion du Domaine de la Cour Roland.
Président : le Maire de Jouy-en-Josas
Communes membres : Jouy-en-Josas et Vélizy-Villacoublay
Le Syndicat compte 9 délégués par commune membre
Syndicat pour l’Assainissement de la Vallée de la Bièvre
Le comité syndical est composé de 2 délégués titulaires et 2 délégués suppléants par commune. Il se réunit et délibère une fois par trimestre.
Missions :
- Entretenir la rivière et ses affluents, étudier, réaliser et faire des aménagements.
- Collecter les eaux usées des collectivités adhérentes et les diriger vers la station d'épuration de Valenton puis vers celle du SIAVB si la construction de celle-ci est validée par le Conseil Syndical.
- Préserver et mettre en valeur la Bièvre et ses affluents, leurs cours et leurs abords sur le plan écologique et paysager.
- Lutter contre les inondations.
- Instruire les permis de construire au titre de l'hydraulique et de l'assainissement.
Syndicat Intercommunal de l'Amont de la Bièvre
Mission : gestion du domaine intercommunal de Montéclin et défense des intérêts de la vallée de la Bièvre.
Syndicat des Eaux d'Ile de France
Créé en 1923, cet établissement public administratif gère le service de l'eau de 144 communes de la région Parisienne.
Sa mission est d'envergure : distribuer de l'eau à 537 599 abonnés, soit plus de 4 000 000 de consommateurs, sur un territoire comprenant sept départements. Le Syndicat des Eaux d'Ile-de-France est administré par un Comité composé d'élus de ses 144 communes.
95% de la ville de Jouy-en-Josas est desservie par le SEDIF.
Depuis 1971, Jouy-en-Josas entretient des relations amicales, sportives et culturelles dans le cadre du jumelage avec Bothwell (Ecosse) et Meckesheim (Allemagne).
Si vous souhaitez vous informer, vous impliquer dans la vie du Comité de jumelage, vous déplacer à MECKESHEIM ou à BOTHWELL, recevoir des représentants d’associations allemandes ou écossaises ou simplement découvrir en famille dans nos villes jumelles, n'hésitez pas à nous contacter !
Membres du Bureau du Conseil d'Administration pour l'année 2021 :
- Président : Jacques Bellier
- Trésorier : Catherine Musat
- Secrétaire : Véronique Chiquier
Le Comité de jumelage de Jouy a organisé sa galette des rois, dans le cadre de son partenariat avec HEC Paris.
Près de 35 personnes (étudiants internationaux, familles d’accueil, membres d’HEC et du Comité de jumelage, en présence de Monsieur le Maire, accompagné de Daniela Quint, adjointe au maire et responsable des relations avec HEC) se sont réunies pour un moment de convivialité, riche en échanges et en découverte des traditions françaises.
Si vous aussi êtes intéressé(e) par ces échanges, contactez vite le Comité de jumelage : jumelage.jouy@gmail.com
Le Comité de Jumelage organise des cours de langue LET GO
Activités interactives en Anglais le samedi matin à l'Espace multimedia (2B, rue Oberkampf).
Conversation pour adultes : 25 séances d'1h30, de 10h à 11h30 : 300 €
Contact : limalau6@gmail.com
Le samedi 23 janvier 2010 s’est tenue, l’Assemblée Générale constitutive du Comité de jumelage de Jouy-en-Josas. Constitué sous la forme juridique d’association à but non lucratif, régie par la loi du 1 juillet 1901, ce Comité de jumelage a pour objet le développement d’échanges culturels, sportifs, linguistiques ou solidaires, toutes générations confondues, ouvert à tous, avec nos villes jumelles de Mekesheim en Allemagne, Bothwell en Ecosse et la volonté de rapprochement avec d’autres villes.
Welcome to new members,
Willkommen neue Mitglieder,
Bienvenue aux nouveaux adhérents !
Le Comité de Jumelage connait un vif succès auprès des Jovaciens, plus de 110 membres à ce jour, et multiplie ses actions d'échanges, d'aides, de partage et de formation linguistique.
Votre adhésion serait un plus pour mener à bien nos projets, comme la prochaine fête de Jouy en juin prochain qui mettra à l'honneur la ville de Meckesheim :
- 20€ pour les personnes physiques
- 35€ pour les personnes morales
- 50€ ou plus pour les membres bienfaiteurs
Merci d'adresser vos adhésions à :
COMITE de JUMELAGE
19 avenue Jean Jaurès - CS60033
78354 Jouy-en-Josas cedex
Rencontres avec des étudiants internationaux de HEC : une façon de voyager et d’échanger près de chez vous !
Le Comité de jumelage de Jouy-en-Josas propose aux familles de Jouy ainsi qu’à celles des communes voisines de les mettre en contact avec un étudiant international de HEC afin de lui faciliter son insertion en France.
Vous pourrez ainsi partager de façon ponctuelle vos passions, vos centres d’intérêt, vivre une expérience enrichissante et nouer une relation amicale avec des représentants de cultures très variées.
Une contribution modeste de 15€ vous sera demandée pour aider le Comité de jumelage à réaliser nos nombreuses actions à l’international.
Si cette expérience vous tente, merci de contacter Marie-Christine BUALE
Le Comité de Jumelage souhaite ouvrir ses activités d'échanges à un maximum de jovaciens.Il a donc été décidé la création de plusieurs commissions, au sein desquelles nous espérons l'implication et la participation active de nombreux adhérents.
Nous vous proposons de contribuer à la réussite de nos projets dans une ou deux commissions dont le thème retient votre attention :
- Commission activités et échanges familles-scolaires
- Commission activités et échanges sportifs
- Commission activités et échanges culturels
- Commission animations, festivités et communication
Votre expérience, votre efficacité et votre créativité seront des atouts dans la réalisation de notre volonté de relance des jumelages avec nos villes partenaires.
Depuis les années 70, la ville de Jouy-en-Josas entretient des relations privilégiées avec les villes de MECKESHEIM et de BOTHWELL par des échanges exclusivement sportifs.
Créé en Janvier 2010, par la volonté et la détermination d’un groupe de Jovaciens épaulés par la Municipalité, le Comité de Jumelage est à la disposition de tous, particuliers, associations, groupes scolaires et grandes écoles, professionnels, pour le développement de notre partenariat avec nos villes jumelées.
En tant qu’artisans ou commerçants, professionnels libéraux, dirigeants d’entreprise, responsables de centre de recherches ou de grandes écoles, nous pouvons vous apporter assistance dans vos projets de rencontres, d’échanges avec vos confrères ou collègues Allemands et Ecossais.
Si vous souhaitez vous informer de nos possibilités, vous impliquer dans la vie et le développement de votre Comité de Jumelage, recevoir ou aller à la rencontre de collègues Allemands ou Ecossais, nous vous invitons à nous contacter.
Comité de Jumelage de la Ville de Jouy-en-Josas
Mairie
19 avenue Jean Jaurès - CS60033
78354 Jouy-en-Josas cedex
Courriel : jumelage.jouy@gmail.com
Le Comité de Jumelage
Une fenêtre ouverte sur le monde !
Comité de jumelage de Jouy-en-Josas
Mairie de Jouy-en-Josas
19, avenue Jean Jaurès - CS60033 - 78354 Jouy-en-Josas cedex
Site internet : https://sites.google.com/view/jumelage-jouy-en-josas
Courriel : jumelage.jouy@gmail.com
Un demi-siècle déjà depuis la signature du jumelage entre Meckesheim (Allemagne) et Jouy-en-Josas ; 44 ans, entre Bothwell (Ecosse) et Jouy. Que de belles expériences !
Fondé sur cette expérience; il a été décidé en 2010 de créer avec des citoyens de Jouy un Comité de Jumelage. Son objet : piloter les actions de jumelage de la ville, les élargir à la coopération internationale en y associant au plus près les habitants de Jouy.
Dans ce dernier registre, des relations ont ainsi été nouées avec Foumban au Cameroun et Jeïta au Liban ; un parrainage fonctionne avec les étudiants étrangers d’HEC... autant de liens qui se nouent, grâce auxquels jeunes et moins jeunes ont l’occasion de rencontrer et d'échanger une multitude de personnes d’origines, de langues, de cultures et de religions différentes.
1. Pour participer à des rencontres ou des échanges concrets avec des amis étrangers. Quelques exemples :
• Participation aux fêtes des villes
(ex. « Strassenfest » à Meckesheim, « Scarecrow festival » à Bothwell, « fête du café » à Foumban, « fête de Noël » à Jeita, accueil de nos amis à la fête de Jouy et au Marché de Noël), accueil dans les familles, etc.
• Échanges entre associations sportives : foot, golf, tennis de table, tennis … ; environnementales : ruchers, jardins, … ; ou culturelles : théâtre, envoi de livres, expositions.
• Entraide économique (ex. études pour commercialisation du café de Foumban à Jouy, pour chemins de randonnée à Jeïta) ou dans le domaine de la santé (ex. stages de l’école Jeanne Blum à Foumban),
Echanges scolaires
• Echanges scolaires, par Internet quand la situation ne permet pas la présence physique,
• Parrainage d’étudiants étrangers à HEC, 110 nationalités différentes ; chacun s’organise comme il veut (du contact téléphonique aux repas partagés et aux visites communes).
2. Pour entrer en contact avec des jeunes ou des villes de pays, langues et cultures différents.
3. Pour être informé régulièrement des relations de la ville avec ses partenaires à l’international (compte Facebook et Newsletter semestrielle).
De 2 heures par an (pour l’Assemblée Générale) à quelques heures par mois, tous les degrés d’engagements sont possibles.
Quel que soit le temps dont vous disposez,
Si vous êtes curieux du monde qui nous entoure,
Vous avez votre place au Comité de Jumelage !
Les Maires libanais de nos villes partenaires ont été très émus de la participation des Jovaciens et de la ville de Jouy, aux côtés de Bailly, Noisy-le-Roi, Versailles, l’agglo de VGP et le Département des Yvelines.
La collecte que nous avons menée entre Noël 2021 et mai 2022 va leur permettre de mieux prendre en charge les usagers de leurs centres de santé, aide d’autant plus précieuse en cette période de grande crise au Liban.
Antoura a ainsi pu acquérir un fauteuil dentaire et Jeïta une machine à ultrason. Nous allons prochainement relancer une nouvelle collecte afin d’aider nos amis de Jeïta dans d’autres domaines.
Nous envisageons pour cela d’organiser un nouvel événement au printemps : rejoignez-nous si vous souhaitez participer : cabinetdumaire@jouy-en-josas.fr.
Lors du Marché de Noël des 10 et 11 décembre, le Comité de jumelage sera heureux de vous faire découvrir (entre autres) des spécialités et animations libanaises sur son stand !
En 2016, de nombreuses rencontres sont prévues avec nos amis écossais de Bothwell.
Pendant le long week-end de l'Ascension, les golfeurs de Jouy se rendront à Bothwell pour leurs traditionnelles rencontres (tous les 2 ans), une fois à Jouy, une fois à Bothwell.
Les apiculteurs et membres des jardins familiaux de Bothwell seront accueillis à Jouy pendant le week-end de l'Ascension.
Pour le 1er week-end de juin, les joueurs de foot vétérans de Bothwell viendront rencontrer les vétérans de l'USJJ pendant la fête de Jouy.
Après une expérience similaire en 2013 avec Ludivine Rousseau qui a rencontré un grand succès avec ses compétences professionnelles et son intégration dans l’équipe, Mégane Lowys a été motivée pour effectuer sa mobilité internationale post-apprentissage au même endroit.
Le Twinning Committee de Bothwell a trouvé une solution pour le logement, une délégation a accueilli Mégane à l’aéroport à son arrivée.
Mégane nous écrit : « J’avais une grande appréhension du fait que je sois une fille, mais étant donné qu’ils ont déjà eu une stagiaire 2 années auparavant ce fut très facile de m’intégrer. Les Ecossais sont en général très curieux et au début, c’était eux qui me posaient énormément de questions pour me connaître. Et ce qui est bien c’est qu’ils m’intègrent toujours à leur conversation en me demandant mon avis. »
Mégane est le troisième stagiaire de cette formation Bachelor de TECOMAH en stage au golf de Bothwell. Ses compétences techniques sont hautement appréciées, TECOMAH est devenue une valeur sûre.
Sur la photo, on la voit entourée de l’équipe technique de l’entretien du Castle Golf Club de Bothwell.
Le comité de jumelage de Jouy-en-Josas est fier de la pérennisation de cette action parmi les diverses initiatives entre Bothwell et Jouy-en-Josas
Après une expérience similaire en 2013 avec Ludivine Rousseau qui a rencontré un grand succès avec ses compétences professionnelles et son intégration dans l’équipe, Mégane Lowys a été motivée pour effectuer sa mobilité internationale post-apprentissage au même endroit.
Le Twinning Committee de Bothwell a trouvé une solution pour le logement, une délégation a accueilli Mégane à l’aéroport à son arrivée.
Mégane nous écrit : « J’avais une grande appréhension du fait que je sois une fille, mais étant donné qu’ils ont déjà eu une stagiaire 2 années auparavant ce fut très facile de m’intégrer. Les Ecossais sont en général très curieux et au début, c’était eux qui me posaient énormément de questions pour me connaître. Et ce qui est bien c’est qu’ils m’intègrent toujours à leur conversation en me demandant mon avis. »
Mégane est le troisième stagiaire de cette formation Bachelor de TECOMAH en stage au golf de Bothwell. Ses compétences techniques sont hautement appréciées, TECOMAH est devenue une valeur sûre.
Sur la photo, on la voit entourée de l’équipe technique de l’entretien du Castle Golf Club de Bothwell.
Le comité de jumelage de Jouy-en-Josas est fier de la pérennisation de cette action parmi les diverses initiatives entre Bothwell et Jouy-en-Josas
Représentée par son Comité de Jumelage, la ville de Jouy-en-Josas était présente à Bothwell à l’occasion du Scarecrow Festival 2014, sous un soleil estival. Lors de ce séjour, il nous été possible de rencontrer l’ensemble des associations, des professionnels de la ville, des enseignants et des élus locaux.
Un accueil des plus chaleureux nous a été réservé et quelle ambiance dans les rues, chacun décorant son jardin, son balcon, sa devanture, son magasin d’un épouvantail des plus comiques. Ouvrant la parade dans les rues de la ville, nous avons eu le plaisir de retrouver nos amis du Pipe Band présents lors la fête de Jouy 2010.
Pour clôturer ce très beau week-end, un concert était proposé dans l’église de Bothwell. Dans les quelques mots de bienvenue, la ville de Jouy-en-Josas a été remerciée de sa présence et sa participation aux différentes animations.
Des échanges nouveaux sont en cours de préparation entre les apiculteurs et les passionnés des jardins partagés et familiaux.
Comme les années précédentes, nous avons mesuré la réelle et sincère amitié entre nos deux villes, amitié entretenue et consolidée par les Comités de Jumelage de Botwell et de Jouy-en-Josas.
A l'occasion de la fête de Jouy-en-Josas, le Golf Club de Jouy a accueilli nos amis golfeurs de Bothwell du 22 au 26 mai 2014.
Trois jours de compétition pour les golfeurs sur des parcours différents dont le Golf de Saint Marc, des visites et des découvertes pour les non golfeurs, des soirées festives ont consolidé les relations fraternelles entre nos deux villes jumelles.
A l'invitation de Jacques Bellier, maire de Jouy-en-Josas, les golfeurs et leurs logeurs, les footballeurs vétérans de Bothwell, également présents, et leurs logeurs ont été conviés à partager le verre de l'amitié, amitié symbole de la AULD ALLIANCE qui unit l'Ecosse et la France depuis le XVème siècle.
Rendez-vous en 2016 à Bothwell pour de futures rencontres "golfiques" en terre écossaise !
Départ 8h pour un transfert à Roissy CDG où après une arrivée sans encombre, nous sommes partis pour Glasgow avec deux heures de retard.
Accueillis par nos amis écossais, les jours qui suivirent furent consacrés certes au golf (celui de Bothwell, bien sur, mais aussi le superbe "links" de St Nicholas Prestwick), et bien entendu à l'amitié franco-écossaise.
En effet, de soirées conviviales en repas dansant, tout a été fait pour continuer de sceller une amitié indéfectible entre nos deux villes.
Comme toujours, ce séjour nous parut bien court, tant les activités et la joie de partager ces merveilleux moments furent intenses.
Rendez-vous en 2014 pour accueillir à notre tour les golfeurs écossais !
Invitée par leurs homologues écossais, une délégation réduite du Comité de Jumelage de Jouy-en-Josas s’est rendue à Bothwell du 8 au 11 septembre 2011, pour participer au Scarecrow Festival (festival des épouvantails).
Pour la première fois, dans les rues de Bothwell, pour animer le Forum des Associations, les habitants, les commerçants, les écoles, les clubs sportifs et toutes autres structures étaient invitées à concevoir, construire et exposer des épouvantails (scarecrow) dans leurs jardins, dans les devantures des magasins, sur les balcons et façades d’immeubles, dans les cours d’école, etc…
Durant trois jours, du vendredi 09 au dimanche 11 septembre, tous les habitants de Bothwell découvrirent des stands implantés sur toute la ville, participèrent à de très nombreuses activités, sous forme d’animations, de jeux, de démonstrations sportives, d’expositions de peintures et florales, de dégustations, de concerts musicaux en soirée. Chaque association tenait son stand afin de se faire connaitre et enregistrer des inscriptions.
Le dimanche en début d’après-midi, une grande parade, regroupant plus de 300 participants, composée des enfants des écoles et autres volontaires costumés, au son des cornemuses, défila dans les rues, un grand moment de liesse collective, un succès considérable et pour la plus grande joie de tous, malgré la pluie.
Profitant de ce séjour en Ecosse, au cours d’une réunion de travail entre les représentants des Comités de Jumelage, furent évoqués :
– le projet d’échanges scolaires mars 2012 entre nos deux villes jumelles
– le projet de partenariat avec la ville de Foumban au Cameroun.
Ces deux projets reçurent un bon accueil de nos amis écossais et des décisions furent prises pour actions.
Grand merci à vous tous amis de Bothwell, pour votre sens de l’hospitalité, votre fidélité au jumelage, votre créativité et implication dans l’organisation de ce festival novateur !
Dès le début des années 70, Jacques TOUTAIN, Sénateur-Maire de Jouy-en-Josas, en complémentarité du jumelage avec Meckesheim en Allemagne, cherchait une possibilité de rapprochement avec une ville du Royaume-Uni, sur suggestion de Madame AUCLAIR Charmian, Jovacienne de cœur et anglaise de naissance, née à Henley-on-Thames à proximité de Londres.
Européen convaincu, Jacques TOUTAIN, lors d’un congrès de la Fédération Internationale des Villes Jumelées Européennes, eut la possibilité de dialoguer et d’échanger avec des participants Ecossais. Au cours de ces entretiens, il prit la mesure de la ressemblance de nos tempéraments, nos attachements aux traditions de nos deux nations et surtout le respect du pacte d’amitié entre l’Ecosse, la France et la Norvège signé en 1165 : la « AULD ALLIANCE ».
Depuis cette date, ce pacte d’amitié, renouvelé par le Traité de Paris en 1296, les Ecossais résidant en France et les Français résidant en Ecosse disposaient de la double nationalité jusqu’à la révocation de ce point du Traité en 1903 par la France.
Après une étude comparative des villes écossaises à la dimension de notre Ville, un rapprochement avec BOTHWELL fut envisagé.
La première rencontre eut lieu en août 1975, en Ecosse, entre Robert SHERRY, Président du Hamilton District Council auquel est rattaché Bothwell, et Jacques TOUTAIN. Elle permit de poser la « première pierre » d’un partenariat d’amitiés et d’échanges qui ne faillit jamais. En décembre 1975, La municipalité de Jouy-en-Josas reçut une délégation de Bothwell avec pour objectif la consolidation des bases et la préparation du futur jumelage.
En Juin 1976, pour renforcer le projet de jumelage entre nos deux villes, Sam LECKIE organisa, en partenariat avec les commerçants de Bothwell, une semaine de promotion des produits français. Cette « French Week » connut un tel succès que très rapidement en Juillet et Août de la même année, des familles écossaises recevaient des familles françaises. Monsieur et Madame LE SAINT, alors Conseillère municipale de Jouy-en-Josas, accompagnés de leurs enfants, furent parmi les premiers à séjourner à Bothwell accueillis par la famille de Russel THOMSON, Président de Bothwell Village Association.
Le 18 décembre 1977, à l’occasion de l’inauguration des nouveaux locaux de la mairie de Jouy, en présence de délégations de personnalités de Meckesheim et de Bothwell, Messieurs Russel THOMSON et Jacques TOUTAIN signaient la Charte du jumelage entre nos deux villes (l’original de cette charte est affiché dans la salle du Conseil municipal de Jouy-en-Josas).
Dès lors, les échanges linguistiques scolaires se multiplièrent. De jeunes Jovaciens séjournaient en famille à Bothwell et de jeunes Ecossais étaient reçus à Jouy-en-Josas.
Le 1er mai 1981, les footballeurs Ecossais, Juniors et Seniors, furent reçus par l’Union Sportive de Jouy-en-Josas. Cette première rencontre sera suivie de nombreux échanges, en alternance, entre les deux Clubs.
Le 12 mai 1983, les footballeurs vétérans de l’USJJ, sous la Présidence de René MIJOUIN, se rendirent à Bothwell, baptême de l’air pour beaucoup d’entre eux. Organisée, entre autres, par Tommy LOGHRAN à la tête d’une Equipe de bénévoles motivés, cette réception laissera des souvenirs inoubliables à tous les participants. Elle marquera le début d’une franche, fidèle et solide amitié entre les joueurs et leurs familles.
Depuis bientôt 30 ans, chaque année, en Ecosse ou en France, un séjour qui se veut initialement sportif, est l’occasion de festivités sans cesse renouvelées, au cours desquelles règnent convivialité, gaieté, sincérité et émotion au moment du retour.
Avant le football, en Ecosse, avec plus de 300 parcours, parmi lesquels ceux de ST ANDREWS, dont « the Old Course », la pratique du golf est une institution régie par le Royal and Ancient Golf Club fondé en 1754.
Au début des années 90, sous l’impulsion de son Président Alain Vanhove, les golfeurs de Jouy, allèrent fièrement se confronter à leurs homologues écossais et défendre nos couleurs.
Depuis 20 ans, des échanges bisannuels ont été instaurés entre les golfeurs de Bothwell et ceux de Jouy, rencontres amicales et sportives, le « 19 trou » restant le plus difficile mais le plus agréable et le plus convivial.
Juin 2004 : Fête de Jouy "Les Olympiades", la ville accueille ses amis allemands et écossais.
En Juillet 2009, Monsieur Jacques BELLIER, au cours d’une rencontre, organisée par le Comité de Jumelage de Bothwell, avec les Elus locaux représentant la ville au sein du Council South Lanarkshire, des Présidents d’Associations et les directrices d’écoles, affirma sa volonté de relancer les échanges culturels, sportifs, scolaires et familiaux entre nos Villes, sa volonté de mettre en place, à Jouy-en-Josas, un Comité de Jumelage fédérateur, innovant, impliqué dans la vie de la Commune (voir compte-rendu du voyage ci-dessous).
1976 – 2010 : après 34 années d’amitié entre nos deux villes et de fidélité à nos engagements respectifs, la création du COMITE de JUMELAGE de JOUY-EN-JOSAS, impulsé par le Maire Monsieur Jacques BELLIER et l’ensemble des Elus du Conseil Municipal, toutes tendances confondues, est le début d’une nouvelle ère, d’une implication des Jeunes de nos Villes, d’une relance des échanges ouverts à tous les Jovaciens, particuliers, associations, scolaires, professionnels et Institutionnels.
Les plus grands remerciements vont à toutes celles et tous ceux – Ecossais et Français - qui ont œuvré à la réussite de notre Jumelage et qui, grâce à leur détermination et leur implication personnelle, font perdurer les échanges sportifs et familiaux, gages d’amitié et de fraternité entre nos deux Villes.
« Lorsque je suis à Bothwell, je me sens comme à la maison, je suis chez moi, fier d’être Ecossais………. » Propos recueillis qui résument parfaitement l’amour que portent les Jovaciens à leurs amis de Bothwell.
Au début de l'été 2009, à la demande de Jacques BELLIER, maire de Jouy en Josas, une délégation de Jovaciens s'est rendue à Bothwell.
Cette visite avait pour objectif d'affirmer auprès de nos correspondants écossais, notre profond attachement à ce jumelage, notre volonté de relancer nos échanges associatifs culturels, scolaires et sportifs, notre détermination à mettre en place des structures solides, efficaces au sein d'un Comité de Jumelage Bothwell-Jouy en Josas ouvert à tous et rencontrer les élus politiques et décideurs locaux.
Lors d'une ballade dans les rues de Bothwell, de découverte des sites incontournables de la ville - Château, Golf, Club de Boules, Eglise, Rue principales, Pubs -, de rencontres et de conversations échangées spontanément avec des habitants, des commerçants, des restaurateurs et autres artisans de Bothwell, nous avons pu prendre toute la mesure de l'amitié qui unit nos deux villes et de la connaissance de l'existence du Jumelage par nos amis écossais.
Une première réunion avec les Présidents ou représentants des différentes associations de Bothwell et élus politiques locaux, Jacques BELLIER a eu l'opportunité de dialoguer avec chacun, de se présenter et de développer son projet de création d'un Comité de Jumelage vivant, répondant aux besoins et attentes des habitants de Bothwell et de Jouy en Josas. Cette réunion a permis de nombreux entretiens personnalisés entre les membres de la délégation Jovacienne et les Présidents des associations avec lesquels des projets d'échanges concrets sont en cours de réalisation, entre autres la venue d'une délégation de Bothwell à la prochaine Fête de Jouy en juin 2010 : Pipe Band, Chorale, etc...
Jacques Bellier entouré de Présidents, de représentants d'associations de Bothwell et d'élus politiques locaux
Après une réception-dinatoire en soirée organisée par le Comité de Jumelage de Bothwell, au cours de laquelle nous avons apprécié les saveurs culinaires écossaises et autres "breuvages locaux" (avec modération), une seconde réunion était programmée.
Celle-ci avait pour objectifs de nouvelles prises de contacts et de présentation de notre projet de création d'un Comité de Jumelage aux élus Politiques, au SOUTH LANARCKSHIRE COUNCIL (l'équivalent de notre Conseil Général), en présence de son Président, Russell CLEARY, de Députés comme Henry MITCHEL - Conservative Party - et Jim MAC GUIGAN - Scottish National Party.
Cette entrevue s'est révélée déterminante et essentielle à la mise en place officielle de notre projet de Comité de Jumelage Bothwell/Jouy-en-Josas.
Russell CLEARY, au cours de son allocution, a souligné l'importance des rapprochements au sein de la Communauté Européenne, a manifesté son enthousiasme à nos idées d'échanges scolaires, sportifs et culturels et s'est engagé à apporter son aide à nos différentes manifestations.
Au cours de notre séjour, une fois de plus, nous avons apprécié l'hospitalité légendaire de nos amis de Bothwell, leur accueil convivial et la profonde amitié témoignée, au travers de nos différents entretiens, à l'ensemble des Jovaciens.
Nous adressons nos chaleureux remerciements aux membres du Comité de Jumelage de Bothwell, organisateurs de notre visite :
- Tommy LOUGHRAN, Président
- John MAC CABE, Secrétaire et Trésorier
- Ernie SPENCER et son épouse, correspondants et interlocuteurs
- et à l'ensemble des Présidents des Associations de Bothwell qui ont participés activement l'élaboration et à la qualité de notre voyage, sans oublier Caroline et John PITCATHLEY, leurs filles Claire et Fiona qui nous ont accueillis et organisé un concert spontané de musique classique dans la Cathédrale de Motherwell.
Nous attendons tous nodocs amis écossais avec impatience et les accueillerons avec grand plaisir en Juin prochain à l'occasion de la Fête de Jouy dont le thème principal sera l'Ecosse.
Meckesheim est un village de 5400 habitants à proximité des rives du Neckar, en Allemagne dans le Land de Baden-Württemberg.
Des monuments et vestiges, témoins d’un passé glorieux, s’accrochent aux collines. Ils sont un point d’attraction pour les nombreux visiteurs qui empruntent les bateaux-mouches voguant sur le Neckar.
Heidelberg, ville universitaire et touristique, est toute proche. Plus loin, Mannheim est la cité industrielle de la région.
Le club de football de Jouy-en-Josas rencontre depuis 30 ans, tous les deux ans, le club de football de Meckesheim.
Le Comité de jumelage a organisé la rencontre de jeunes de Jouy-en-Josas et de jeunes de Meckesheim au cours d'un séjour du 24 au 26 octobre dans les Vosges, à Niederbronn les Bains. L'objectif de ce déplacement était de mobiliser les jeunes autour de la paix.
Compte-rendu rédigé par les 5 jeunes de Jouy :
"Vendredi 24 octobre, nous partons en direction de Niederbronn les Bains. Arrivés au centre de rencontre, des allemands de Meckesheim nous attendent pour manger. Le lendemain, M Klein, le directeur du centre, nous accueille en nous racontant des histoires concernant d’anciens soldats morts à la guerre, et en nous faisant visiter le cimetière et voir son exposition. L’après midi, une photographe journaliste française nous emmène voir quelques monuments relatant la guerre du 6 Août 1870, pour faire un rallye photo ; le but étant de photographier le monument sous un seul angle. Après un tour dans la ville, nous avons fait plus ample connaissance avec les Allemands.
Dimanche 26 octobre, nous réalisons une couronne de citations tirées des livres des visiteurs du cimetière militaire. Nous la déposons sur le monument aux morts de la ville. Nous passons nos dernièrs instants avec les allemands avant de nous séparer, et d’écrire ces lignes.
Merci au maire, à tous les accompagnateurs et au comité de jumelage pour ces deux jours très instructifs.
Merci aussi à tous les allemands, M. Klein et ses collègues."
Eléonore, Anaëlle, Roxane, Manon, Julie
Compte-rendu de Florian, jeune Jovacien animateur du stand du Comité de Jumelage
"On m'a demandé d'aider à la tenue du stand du Comité de jumelage lors de la Strassenfest à Meckesheim pendant le week-end du 6 et 7 sept 2014.
C'était pour moi la première opportunité de me rendre dans la ville jumelée. L'accueil en famille et la tenue du stand avec la valorisation de produits français et les rencontres avec les habitants ont dépassé mes attentes. Durant ces 2 jours, il y avait aussi une véritable ambiance festive.
D'être logé dans une famille à Meckesheim permet d'approfondir la rencontre et le partage. Les liens avec notre ville jumelée sont ainsi renforcés et cela contribue à la construction de l’amitié franco-allemande, ce qui est important à mes yeux.
Meckesheim est située tout près de Heidelberg et ma famille d'accueil m'a proposé d'aller visiter cette belle ville est ses environs."
Les 17 et 18 septembre 2011, pour répondre à une invitation de Monsieur le Maire Hans Jürgen Moos, une délégation de Jouy-en-Josas s’est rendue à Meckesheim.
Cette délégation, composée de Monique Le Saint, ancien maire de Jouy et mémoire du jumelage avec Meckesheim, Jacques Bellier, Maire de Jouy-en-Josas et François Bréjoux, Adjoint à la culture, représentants la Municipalité, Elisabeth Hemme, Christiane Du Couëdic et Jean-Jacques Waterlot, représentants le Comité de Jumelage, fut accueillie par le Maire en gare de Meckesheim.
Après une découverte du réaménagement du nouveau centre ville, quelques mots de bienvenue, une rapide collation en Mairie, une réunion de travail était organisée afin de préparer au mieux la prochaine Fête de Jouy juin 2012 dont le thème principal sera l’Allemagne, après l’Ecosse en 2010.
A la suite de nos entretiens, de la collecte de nombreuses informations de nos amis allemands présents à cette réunion : Elus locaux, Comité de Jumelage, Associations et Ecoles, nous restons confiants quant à la réussite de cette prochaine fête qui mettra en valeur l’amitié entre nos deux villes.
Jacques Bellier a également présenté notre projet de coopération décentralisée avec la ville de Foumban au Cameroun. Ce projet semble avoir été bien reçu par les Elus de Meckesheim.
En fin de journée, en présence de très nombreux habitants, Madame Monique Le Saint, Messieurs Jacques Bellier et Hans Jürgen Moos inauguraient ensemble un nouveau rond point circulatoire, décoré de blasons lumineux aux couleurs de nos villes. Après les hymnes nationaux, les discours des deux Maires, avec traductions simultanées, furent des instants forts d’amitié, d’émotion et de sincérité. A cette cérémonie festive, la participation de nombreux enfants est toute une symbolique comme souligné dans les propos échangés, un jumelage actif, vivant, orienté vers la jeunesse de nos villes.
Merci à nos amis allemands pour leur chaleureux accueil, leur motivation et leur implication pour la réussite de nos projets 2012, sans oublier Elisabeth et Christiane pour les traductions !
Après un déplacement à Bothwell, souhaitant vivement relancer le jumelage entre nos deux villes, une visite a été organisée le 18 novembre 2009 à Meckesheim en Allemagne, historiquement notre première ville jumelée depuis 40 ans.
Cette visite avait pour objectifs : la rencontre de Hans-Jürgen MOOS – Maire de Meckesheim – et Jacques BELLIER – Maire de Jouy en Josas, la présentation de notre concept du Jumelage, la détermination des besoins et attentes de chacun, pour une mise en place planifiée de projets à court et moyen terme.
En fin de matinée, après un rapide voyage ferroviaire, nous avons été accueillis chaleureusement en gare de Meckesheim par le Bürgermeister Hans-Jürgen MOOS qui, dans la salle du Conseil de la Mairie, nous a présenté les huit membres du Comité de Jumelage de la Ville. Au cours d’une promenade dans les rues de Meckesheim, nous avons mesuré et apprécié la qualité des travaux d’urbanisme et de circulation réalisés : réaménagement circulatoire du centre ville, construction d’une maison de retraite, restauration d’anciens bâtiments, enfouissement des lignes électriques, implantation de nouvelles places de stationnement proches des commerces de proximité.
Un « sympathique » déjeuner pris dans auberge en centre ville, précédait une réunion de travail avec pour thèmes de réflexions et décisions :
Hans-Jürgen MOOS, très dynamique, invite Jacques BELLIER à une promenade dans les rues de Meckesheim
Après le travail, venait le réconfort grâce à un traditionnel « Kaffeetrinken » – café accompagné de savoureux gâteaux – fort appréciés par tous, au sommet d’une colline surplombant la Ville, site de l’ancienne chapelle de Meckesheim.
Déjà l’heure de notre train de retour vers Paris approchait, après d’amicales salutations, des engagements forts de se retrouver rapidement et de mettre en place nos décisions communes de « revitalisation » du Jumelage de nos Villes, nous étions de retour à Jouy en Josas vers 22h.
Echanges constructifs sur la relance du Jumelage au cours d'un traditionnel Kaffeetrinken pris sur une colline surplombant Meckesheim.
Déjà l'heure de se quitter en fin d'après-midi, des salutations des plus cordiales et des engagements de se retrouver rapidement
Nous adressons nos sincères remerciements, pour la qualité de leur accueil, à l’ensemble de nos amis de Meckesheim, Monsieur le Maire Hans-Jürgen MOOS et l’ensemble du Personnel de la Mairie, les membres du Comité de Jumelage Mesdames Inge Hanselmann, Irene Mickel, Rosa Rojek et Messieurs Heinz Seib, Steffen Nahler, Steffen Barth, Holger Vettermann et Jean Staat qui ont participé à la réussite de cette journée.
Remerciements également à tous les organisateurs de ce voyage et plus particulièrement à Madame Elisabeth HEMME pour les informations et les échanges préparatoires avec nos amis de Meckesheim.
FOUMBAN, ville située à l’Ouest du Cameroun, considérée par les Camerounais comme la Cité des Arts, a un long passé culturel lié à la tradition BAMOUN.
De nombreux artisans y fabriquent et vendent une grande variété de pièces d’art, de l’imitation d’objets historiques à des créations modernes.
Une fois les contacts établis, avec l’aide de l’Ambassade de France, l’ouverture d’une voie de coopération décentralisée Nord-Sud nous est apparue réalisable.
Cette signature est la concrétisation de notre volonté commune de partenariat entre nos deux villes auquel nous souhaitons associer nos deux villes jumelles, Meckesheim et Bothwell.
Jeudi 28 février 2013, Monsieur Adamou NDAM NJOYA, Maire de Foumban et Monsieur Jacques BELLIER, Maire de Jouy-en-Josas, ont paraphé la convention de coopération entre les villes de Foumban et de Jouy-en-Josas, en présence notamment de Madame Patricia TOMAINO NDAM NJOYA, députée du Cameroun, de Marie-Hélène AUBERT, Conseillère générale des Yvelines, de François BREJOUX, conseiller municipal et des membres du Comité de Jumelage.
La signature de la convention s'est déroulée dans la salle du Conseil Municipal de la mairie de Jouy-en-Josas.
Ca y est, c’est parti !
Le Café de Foumban a débarqué en France pour régaler vos papilles
et réveiller vos instincts de consommateurs responsables !
Notre 1ère dégustation-vente a eu lieu dimanche 6 avril 2014 à l’occasion du Trail du Josas, et le Café Foumban a frappé fort : toute l’après-midi, le stand du Café Foumban a proposé aux quelques 1200 participants du Trail et à ses nombreux spectateurs une dégustation gratuite de notre café 100% arabica du Cameroun.
Avec la participation de plus de 1200 concurrents et de 120 bénévoles dont de nombreux Jovaciens, le Trail du Josas est un évènement sportif régional majeur de la ville de Jouy. Ce fut pour nous un instant privilégié pour contacter un maximum d’amateurs de café authentique et sensibiliser les Jovaciens au commerce responsable.
Par l’installation d’un stand spécifique « café Foumban », organisé en partenariat avec HEC et le Comité de Jumelage, de nombreuses personnes ont eu la possibilité de déguster et d’apprécier le café 100% arabica dans sa présentation définitive.
Un grand merci également aux organisateurs du Trail pour leur accueil chaleureux ! Merci enfin aux services de la Ville de Jouy pour l’aide et la logistique - et toujours dans la bonne humeur.
Merci à tous ceux d’entre vous qui sont venus échanger avec nous et nous ont exprimé leur soutien ! Et que ceux qui n’ont pu venir au Trail ne désespèrent pas : nous reviendrons très bientôt couvrir les événements de Jouy et sa région avec notre stand Café Foumban !
Séjour effectué du 7 au 16 juin 2014 par 2 formatrices de l’école Jeanne BLUM et 4 élèves auxiliaire de puériculture
Séjour effectué du 14 au 25 janvier 2014 à Foumban par 4 professionnelles de la santé de l’école Jeanne BLUM.
Cette mission faisait suite à l’analyse de situation des différentes structures de santé de Foumban et de leurs besoins en formation effectuée en mai 2012 par Marielle Souffi, infirmière puéricultrice formatrice à l’école Jeanne Blum et Françoise Bobot, directrice de l’école.
Prochaine mission : prévue en juin 2014 avec 2 formatrices infirmières puéricultrices et 4 stagiaires auxiliaires de puériculture en fin de formation.
A ce jour, un certain nombre de projets ont été concrétisés, d'autres sont en voie de réalisation.
Décembre 2012 : exposition Florent MOUTTI « Tous Français, tous différents » à Foumban
Cette exposition sera itinérante durant une année dans six villes camerounaises sous l’égide de l’Ambassade de France.
Février 2013 : mise à disposition de plusieurs centaines d’ouvrages à la bibliothèque de Foumban
Cette opération a été réalisée via l’Ambassade de France de Yaoundé.
Séjour en 2013, d’un groupe d’aides soignantes de l’Ecole Jeanne Blum à l’Hôpital de Foumban.
Collecte de lunettes usagées et de petit matériel médical. Les lunettes seront restaurées et reconditionnées avant expédition à Foumban.
Relance de la production locale d’un café labellisé de qualité à Foumban
Celui-ci sera commercialisé dans les rayons distributeurs de Jouy et de Vélizy. Un business plan est élaboré par des étudiants HEC auprès du groupe Auchan.
Le Conseil Municipal des Jeunes a organisé une collecte de jouets et de livres auprès des enfants de Jouy pour expédition aux enfants de Foumban.
Cette action a connu un réel succès car le 28 novembre, 6 malles sont parties pour le Cameroun... elles y parviendront ainsi avant les fêtes de fin d'année pour le plus grand plaisir des enfants de Foumban, qui ont été informés de l'arrivée prochaine des cadeaux !
Les villes de Foumban et de Jouy ont partagé les frais de transport des 6 malles. En complément de cette opération, le Comité de Jumelage et le Jouy Basket Club ont assuré l'envoi d'une malle remplie d'articles de sports !
Nos remerciements à Valérie et Yves, de l’association MOTO ACTION, pour leur implication dans la réussite de notre projet !
Jeïta est une ville située à l’ouest du Liban, elle fait partie de la région et de la Fédération du Kesrouan-Ftouh. La commune repose sur une colline couverte de pins et de chênes, qui surplombe la vallée de la rivière Nahr el Kalb. Elle se situe à 350-400 mètres d’altitude, et à une distance de 20 km de la capitale Beyrouth.
Le nom de Jeita est dérivé d’un mot syriaque qui signifie « le bruit du grondement de l’eau » en référence au bruit des eaux de la célèbre grotte de Jeita qui bordait les habitations et qui alimente aujourd’hui la capitale Beyrouth en eau potable.
Le 28 novembre 2018, Monsieur Walid BAROUD, président de la municipalité de Jeïta et Monsieur Jacques BELLIER, Maire de Jouy-en-Josas, ont signé la convention de coopération entre les villes de Jeïta et de Jouy-en-Josas, en présence notamment de Marie-Hélène AUBERT, vice-présidente du Conseil départemental des Yvelines.
Cette signature est la concrétisation de notre volonté commune de partenariat entre nos 2 villes auquel nous souhaitons associer nos 3 autres villes partenaires, Bothwell, Foumban et Meckesheim.
Cette grotte est composée de grottes karstiques interconnectées entre elles. Elle se compose de 2 galeries.
La galerie inférieure a été habitée à l’époque préhistorique et a été redécouverte en 1836 par le révérend William Thomson. Elle peut être visitée en barques (petites barques à propulsion électrique pouvant transporter une dizaine de personnes sur un trajet relativement court).
La partie supérieure de la grotte a été découverte en 1958 par des spéléologues libanais. Située à 60 mètres au-dessus de la galerie inférieure, elle est traversée par un tunnel d’accès et équipée d’une série de passerelles pour permettre aux touristes de faire des visites en toute sécurité sans perturber le paysage naturel. La caverne supérieure, qui abrite la plus grande stalactite, est composée d’une série de chambres. La plus grande chambre atteint une hauteur maximale de 120 mètres.
La Grotte de Jeita est la seule grotte à avoir été choisie parmi les 28 finalistes (sélectionnés parmi 400 sites mondiaux) des sept merveilles naturelles du monde par la Fondation New Seven Wonders.
La grotte reçoit environ 500 000 visiteurs par an.